Les filles et Cuenca, la dépression de David Villa, le doigt dans l’oeil de Tito Vilanova, Karanka, Yannick Noah, la possession de balle du Barça, tout est bon dans le clasico. Même les petits pieds de la Pulga.
Après sa victoire contre Auxerre la semaine dernière (3-2), le PSG se doit de confirmer contre Sochaux à Bonal. Un match loin d’être évident tant les Sochaliens sont passés maîtres dans l’art de scalper les gros.
Ce soir (22h), le Real peut frapper un immense coup face au Barça qu’il peut mettre virtuellement à neuf longueurs. Possible car jamais les hommes de Mourinho n’ont semblé aussi forts. Alors passation de pouvoir ou nouvelle désillusion ?
Top 10 : ils n’auraient jamais dû jouer un clasico
Top 10 : ils n’auraient jamais dû jouer un clasico
Messi, Ronaldo, Benzema, Xavi, Piqué, Alonso, etc. Le clasico n’a pas toujours été aussi sexy que celui qui s’avance. Certains lascars ont même fait sacrément honte en portant la liquette d’un des deux grands d’Espagne.
Le Barça c’est le contraire du Real. La preuve, tandis que le Real s’enferme dans l’autisme, le Barça ouvre les shakras. Pourtant les catalans jouent gros ce soir.
Avec le Sporting Gijon, Grégory Arnolin a déjà affronté le Barça et le Real cette saison, avec deux défaites à la clé. Du coup il est plutôt bien placé pour parler des forces en présence. Interview Clasico.
Luis Figo, Ronaldo, Luis Enrique, quelques joueurs ont disputé des clasicos pour les deux camps. Alfonso Pérez aussi. Voici la dream team « blaurengue » de l’ancien Marseillais et elle a plutôt de la gueule.
Il a pas le même maillot, mais il a la même passion. Joël Quiniou, ancien arbitre international, livre ses pronos pour la prochaine journée de Ligue 1.
Les buts de Messi, les buts de Cristiano Ronaldo, les manitas, le record de Di Stefano, les trahisons de Figo et Ronaldo, les cartons jaunes, les cartons rouges, les doigts dans l’œil. Le Clasico, ce sont des faits, mais c’est avant tout une histoire de chiffres.
Capitaine d’une surprenante équipe guingampaise, Lionel Mathis est tombé amoureux des Côtes d’Armor où il mène la vie de Monsieur Tout-le-monde. Alors, matez mon Mathis.
Braqué 30 millions d’Euros au Benfica l’été dernier, Fabio Coentrao est pour l’instant une énigme. Entre méforme et blessure, le gaucher portugais est en train de se gâcher au Real Madrid. Et si la marche était trop haute ?
Des innovations à en rendre jaloux le docteur Fuentes. En pleine course à l’armement depuis une décennie, Adidas et Nike ne cessent d’innover en matière de chaussures de foot. Devenues « intelligentes », elles pourraient, un jour, booster les performances des joueurs.
Au Barça, il n’y a que des artistes. Ou presque. Au milieu des Messi, Alves, Xavi et autre Iniesta, il y a Sergio Busquets. Un mec aussi moche qu’indispensable. Un type dont le côté obscur fait souvent du bien à un club pas si bisounours que ça.
Depuis ce jeudi se tient la huitième édition de la Coupe du monde des clubs, au Japon. Une compétition réunissant les vainqueurs des ligues des champions des différentes confédérations de la Fifa. L’idée est belle mais accouche d’un intérêt mineur, du moins vu d’Europe.
Kusunga: «Manchester doit le regretter aujourd’hui»
Kusunga: «Manchester doit le regretter aujourd’hui»
Entré à la 87ème minute face à Manchester United, Genséric Kusunga peut se targuer d’avoir fait partie de la première équipe suisse à se qualifier pour les huitièmes de finale de la Champions.
Le 8 décembre 1991, l’Etoile Rouge de Belgrade donne à la Yougoslavie sa première Coupe Intercontinentale. Tragiquement, le talent aussi certain que capricieux des Yougoslaves finit par enfanter de succès internationaux au moment où leur pays se disloque dans le sang.
Des surprises, des révélations, des nazes. Comme chaque année, la phase de poule de C1 a fait le tri dans l’Europe du foot. Et en période de partiels, inutile de préciser que la dernière journée compte pour la moitié de la note.
Sans flamber, sans gagner ses matches 5-0, parfois même sans convaincre, l’Italie vient d’envoyer trois représentants en huitièmes de finale de la C1, quand toutes les autres grandes nations n’en ont qualifié que deux. Mais au fait, les équipes italiennes ne sont pas censées être les plus faibles ?
Certains se sont fait chier. Et pourtant… Entre le sauvetage miraculeux des deux Olympiques, la chute des deux Manchester et la domination des deux géants espagnols, la phase de poule a dessiné de vraies tendances.
La victoire épique des Lyonnais contre le Dinamo Zagreb (7-1) fait couler beaucoup d’encre dans les rédactions du Vieux continent. Entre scepticisme espagnol et tiédeur italienne, les avis divergent. Revue de presse.
Lille était meilleur, mais Lille termine sa phase de poule derrière son adversaire du jour, qui s’est accroché à ce 0-0 comme une huitre à son rocher. Moralité ? Faut les mettre au fond.
Naples n’avait qu’à battre un Villarreal aux pâquerettes pour faire la belle à Manchester City, et il ne s’en est pas privé (2-0). Beaucoup plus surprenante, la qualification du CSKA Moscou qui passe devant Lille et Trabzonspor.
Malgré une première période du tonnerre et un gardien adverse aux mains chaudes, les Lillois sortent de cette Champions League avec pas mal de regrets et n’arrivent même pas à attraper le strapontin pour l’Europa League. Rageant.
Énorme sensation en Suisse où Manchester s’est fait éliminer de la Ligue des Champions. Marco Streller et Alexander Frei ont eu la peau de Sir Alex Ferguson (victoire 2-1). Les Red Devils sont donc reversés en Ligue Europa à la surprise générale.
Logiques vainqueurs du Bayern Munich (2-0), les hommes de Roberto Mancini restent sagement postés derrière Naples, qui a arraché sa qualification à Villarreal (2-0). Les Citizens joueront l’Europa League.
Après l’exploit marseillais, “le plus beau de l’année”, les Lyonnais ont fait encore mieux. Le score face au Dinamo Zagreb? 7 buts à 1! Dont un quadruplé de Bafé Gomis.
Pas franchement aidé par le report des voix venant de Naples ou de Munich, City n’est plus maître de son destin pour sa qualification en huitième de C1.
C’est quasiment plié : Lyon ne jouera pas les 8es de finale pour la première fois depuis 2003. Sauf s’il convoquait un miracle : défoncer Zagreb et espérer que le Real atomise l’Ajax. Missions impossibles ?
Une qualification, puis la Premier League. Les Mancuniens ont besoin d’un petit match nul en Suisse pour valider leur ticket pour les huitièmes de finale. Une étape essentielle avant de pouvoir se concentrer sur le championnat.
Maîtres de leur sort, les Lillois, en s’imposant à domicile face à Trabzonspor, ont l’occasion d’arracher la qualification en huitième de finale et de rattraper le temps perdu.