Le Bayern, défait à Leverkusen (0-2), perd encore du terrain sur le champion d’Allemagne, vainqueur de Mayence (2-1). Schalke 04, battu à Fribourg (1-2) dit adieu au titre et voit le Bayer se rapprocher à quatre points.
Tenu en échec 1-1 sur la pelouse, le leader montpelliérain, privé d’Olivier Giroud et de Younes Belhanda perd deux points précieux dans la course au titre. Derrière, nouvelle déconvenue pour Lyon, battu à Nancy (2-0)
Au terme d’un match un peu moche, un peu ennuyeux, un peu moyen, des Toulousains sérieux et appliqués l’ont emporté au Vélodrome (1-0) contre une équipe marseillaise soporifique.
City a assuré et les petits ont galéré, un samedi banal finalement. Sinon Chelsea qui s’est incliné face à West Brom (0-1) est doublé par Arsenal. Ça sent le sapin pour Villas Boas.
Après avoir été un peu ballonné en janvier, le TFC s’est refait une santé en deux matchs contre des équipes de bas de tableau. Et se retrouve bien calé au milieu du peloton de tête. Pour pourquoi pas tenter une échappée.
Comme à Chelsea à l’automne, Robin Van Persie surgit dans le temps additionnel pour permettre à son équipe de prendre trois points pas vraiment mérités à l’extérieur. En même temps, Dalglish n’avait qu’à pas être aussi frileux.
Quoi de mieux que d’attaquer son week-end avec de la Premier League? Viens, mets toi à l’aise, t’iras jardiner après. Liverpool reçoit Arsenal. Une victoire des Reds est impérative pour espérer accrocher la quatrième place.
Au programme cette semaine, le point sur les championnats marocain, algérien et tunisien, où l’indécision règne. Petit détour aussi en Egypte, traumatisée par le drame de Port-Saïd. Enfin la Ligue des champions de la CAF a débuté.
Cet après-midi à Anfield, Liverpool reçoit Arsenal pour un duel qui, autrefois sentait bon le duel pour le titre, et qui aujourd’hui plus que jamais, se résume à une course pour la 4e place.
Dernier rempart de la solide défense du Chievo Vérone, Stefano Sorrentino, ancien du Torino, se confie avant ce qu’il considère toujours comme un derby face à la Juventus, ce soir.
Doit-on encore présenter Jean-Pierre Mocky ? Réalisateur et acteur charismatique aux cinquante ans de carrière, sa vie mériterait bien un film. Le football selon Mocky, ce serait « A mort l’arbitre », drame français où il dénonce la violence dans les stades.
Certains supporters reprochent à SOS Racisme et à l’Union des Etudiants Juifs de France de contribuer à assurer l’ambiance dans les virages du Parc des Princes, via un collectif dénommé « Sportitude » dont l’objectif premier est de lutter contre les discriminations.
Au cours des six années qu’il a passé à Rome, Ousmane Dabo en a disputé, des derbys. A quelques jours de la stracittadina, l’ancien milieu de la Lazio raconte ses souvenirs. Et donne ses pronostics pour le match de dimanche.
Au match aller, Porto avait été tenu en échec par son pire ennemi à l’Estadio do Dragao (2-2), mais ce soir, les dragons ont une deuxième occasion de gagner à domicile. Car depuis l’année dernière Lisbonne, c’est aussi chez toi.
Dimanche après-midi, la Roma affronte la Lazio lors du toujours très attendu derby romain. Lourdement battue la semaine dernière par l’Atalanta, l’équipe de Luis Enrique confirme qu’elle est autant capable de briller que de sombrer…
Tadé : «Le monstre du Loch Ness doit bien exister»
Tadé : «Le monstre du Loch Ness doit bien exister»
Né à Nantes, d’origine ivoirienne, Grégory Tadé est aujourd’hui un vrai Écossais. Cet attaquant bodybuildé est en train d’exploser avec Inverness pour sa première saison au plus haut niveau.
Il y a bientôt un an, tu es tombé dans une profonde dépression après que Porto se soit sacré champion chez toi, dans ton salon de la Luz. Inacceptable. Cette année au moins tu es sûr que ça n’arrivera pas, mais ça ne suffit pas…
Ludovic Butelle semblait sur la voie royale pour être le futur grand gardien français. Mais entre sales blessures et manque de temps de jeu, le Rémois a fait une croix sur une carrière en Bleu. Aujourd’hui, il se bat pour qu’Arles-Avignon évite la descente.
François Hollande vient de perdre un petit millier de voix. Car à en croire Christophe Jallet, les footballeurs risquent de ne plus lui accorder leur suffrage depuis qu’il a annoncé l’instauration d’une imposition à hauteur de 75% au-delà d’un million d’euros de revenus annuels.
Il y a plein de bonnes raisons de nuancer la victoire de l’équipe de France en Allemagne. Mais il y a plein de bonnes raisons d’y trouver des motifs d’espoir. Et quand on sait d’où viennent les Bleus, c’est déjà un miracle.
La plupart des nations affiliées à la FIFA disputaient hier la traditionnelle rencontre de février, l’occasion d’en savoir un peu plus sur l’état de forme de chacun à 3 mois de l’Euro. Tour d’horizon des matchs amicaux bissextiles.
Emon : «Nasri et Ribéry sont des garçons très simples»
Emon : «Nasri et Ribéry sont des garçons très simples»
Albert Emon revient sur la ligne de milieux offensifs positionnés derrière Olivier Giroud : Nasri, Valbuena et Ribéry. Trois joueurs qu’il a bien connus à l’OM…
Avant le match, les Français craignaient de vivre une déculottée comme face à l’Espagne en 2010. Non seulement ils ont gagné, mais la hiérarchie s’éclaire à quelques postes.
Le dicton nous apprend : « En février, les agneaux naissent plus beaux ». Souvent, le monde du football ressemble à un immense troupeau bêlant. Sofoot.com en extirpe les plus belles bêtes.
Le mois de février n’a que 28 jours. Mais en 2012, comme c’est la dernière année avant la fin du monde, bah il y en a 29. Donc des choses extraordinaires, comme les 700 matches de Totti, les 900 de Giggs ou les 400 buts de Raùl. Du chiffre rond. Bien rond.
L’Espagne a offert une démonstration de football à un public de Malaga conquis, face à un Venezuela impuissant (5-0). Techniquement impressionnante, la Roja s’est découvert d’autres atouts, dont Soldado, auteur d’un triplé en une mi-temps. Elle est prête pour l’Euro.
En quête de repères et de certitudes, l’Angleterre s’est inclinée logiquement à Wembley contre des Pays-Bas (2-3), brillants par intermittence. Rien de bien réconfortant à cent jours de l’Euro.
A la tête d’une équipe bis peu convaincante, Cesare Prandelli a raté son code. Battu par les USA de Jürgen Klinsmann, le sélectionneur italien pourra retenter sa chance dans quelques mois.