En Espagne, le mode de jeu de la sélection commence à faire débat. Pas passés loin d’une grosse déconvenue au premier tour, les Espagnols expriment une certaine inquiétude, voire lassitude.
Au vu du dernier match de l’équipe de France, il n’y a pas franchement de quoi être rassuré avant d’affronter l’Espagne. Pourtant, les Bleus ont les moyens de sortir le champion en titre. Et avec un petit coup de pouce, c’est encore plus simple…
Si bien peu d’Anglais ont tenté l’aventure italienne, ils sont en revanche nombreux à avoir quitté l’Italie pour venir tâter le football anglais. Pour eux, le match de demain soir aura forcément une saveur un peu particulière.
Arrivé en équipe de France pendant les qualifications, Vincent Guérin était titulaire contre l’Espagne lors de la deuxième journée de la phase de poules de l’Euro 96.
Tu sais que tu supportes la Roja depuis 4 ans quand…
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Avant 2008, la sélection espagnole, c’était un peu comme les clubs français en coupes d’Europe, à savoir pas grand-chose. Mais depuis, les Ibères sont devenus les maîtres du monde. Malin, tu t’es engouffré dans la brèche.
Javier Clemente : «L’Espagne est favorite et elle va le montrer»
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Cette année, Javier Clemente a fait descendre le Sporting Gijón en deuxième division et s’est embrouillé, comme d’habitude, avec la terre entière. N’empêche que le petit Basque en connaît un rayon sur la sélection espagnole.
Caparros : «L’Espagne veut entrer dans la légende»
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Considéré comme le « Wenger espagnol », Joaquin Caparros a traîné ses guêtres à Séville, Bilbao, La Corogne et officie désormais au Real Majorque. Interview à quelques heures de France-Espagne avec un coach confiant.
Pedros : «La France joue un peu comme l’Espagne quelque part»
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En 1996, Reynald Pedros était sur le banc des Bleus des jeunes Zidane et Deschamps qui concédaient le nul face à une Espagne qui ne faisait alors trembler personne.
Thierry Tusseau : «Je mettrais Giroud et Benzema devant»
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Spectateur privilégié de la victoire de l’équipe de France face à l’Espagne au Championnat d’Europe 1984, Thierry Tusseau n’est pas un grand fan du groupe de Laurent Blanc. Ce qui ne l’empêche pas d’être derrière les Bleus.
Dernier de la Conférence Ouest de MLS il y a encore peu, Los Angeles Galaxy revient aux affaires, avec une grosse performance réalisée cette semaine sur la pelouse du leader, le Real Salt Lake.
Face à la rigueur et au talent allemand, la Grèce n’a pu cacher ses failles. L’audit de sa prestation ne pouvait qu’être sévère. Seuls Samaras et Salpingidis se sont sauvés du naufrage.
L’Allemagne a marché sur la Grèce. Si les Allemands ont eu du mal à débloquer la situation, ils ont pu compter sur leur capitaine Lahm pour faire péter le verrou grec. Gros match également de Hummels, Khedira et Klose. Par contre, le maillon faible, c’est Boateng…
À l’Euro 2000, l’Espagne, après une phase éliminatoire brillante, s’avance conquérante. En quarts de finale, elle tombe sur un os nommé France, victime de son mental en sucre, et de l’insolente réussite tricolore.
Cela irrite, cela agace, cela rappelle l’Anelka version 2010. Depuis le début de l’Euro, Karim Benzema ne prend pas sa place dans la surface de réparation adverse comme le font les autres avants-centres.
Depuis 2004, l’équipe nationale grecque est certainement la sélection européenne la plus impopulaire. Il y a huit ans, sa victoire à l’Euro est passée pour le plus grand braquage que la compétition ait connu.
On appelle ça un paradoxe : alors que la Grèce a d’ores et déjà réussi son Euro en se faufilant en quarts de finale, sa pépite Sotiris Ninis est gentiment en train de passer à côté de son tournoi.
Tout le monde l’attendait sans trop y croire. Mais dans cet Euro qui n’enthousiasmait guère, voilà que les lois de la guerre économique réinsufflent un nouveau sens au choc des nations.
Dimanche soir, l’Italie et l’Angleterre s’affrontent en quarts de finale de l’Euro. Un match particulier pour les rares Anglais qui ont osé venir tenter leur chance dans le championnat d’Italie. Et qui ont toujours laissé un souvenir, bon ou mauvais.
Depuis le match face au Danemark, Lukas Podolski est devenu le dixième joueur allemand à entrer dans le club des « centenaires ». Une carrière en sélection commencée en 2004 et qui, semble-t-il, ne s’arrêtera pas de sitôt.
Proche de Guardiola, admirateur de Bielsa et Iniesta, Juanma Lillo, ex-coach d’Almería et de la Sociedad, aurait pu être curé ou prof de yoga. Il a préféré vivre du foot et en parler. Depuis son kit mains libres.
Avec son petit anneau à l’oreille, sa bouche et ses yeux carnassiers, son charisme de gros gibier et sa frappe de balle de bombardier, Juan Sebastián Verón a régalé les puristes entre 1994 et 2012.
Tu es brun, tu aimes la feta, tu regardes Les Chevaliers du Zodiaque, tu adores le soleil, tu as dominé le monde et tu as gagné l’Euro le plus retentissant de l’Histoire. Ce soir, tu es pour Το Πειρατικό (le bateau pirate).
L’Allemagne affronte la Grèce en quarts de finale de cet Euro à Gdańsk, non loin de là où elle a posé ses valises. Les Allemands savent qu’ils doivent se méfier de ces Grecs qui aiment bien se déguiser point d’interrogation et ne laisseront rien au hasard.
La Fédération argentine a concocté un système de relégation tellement compliqué que ce week-end, Tigre peut être à la fois sacré champion et relégué en deuxième division. Du beau n’importe quoi.
Vouloir en finir aux pénos pour se reposer sur l’homme fort Petr Čech. À ce jeu-là, la République tchèque est finalement sortie. On la fait pas trois fois à CR7.
Le Portugal s’est qualifié pour les demies de cet Euro, comme en 1984, 2000 et 2004. CR7 a mis du temps à planter une banderille, mais, finalement, il y est arrivé.
Dans une rencontre à sens unique, la Selecção s’est imposée (1-0) sans discussion. Le score aurait pu être beaucoup plus lourd pour les coéquipiers de Petr Čech qui a lonptemps reculé l’échéance.
L’avantage de passer deux ans après Knysna, c’est que n’importe quelle situation difficile paraît bien gérée. C’est le cas après les engueulades qui ont suivi la triste défaite de l’équipe de France contre la Suède, mardi soir.
1996 : Le jour où la France n’a pas battu l’Espagne
1996 : Le jour où la France n’a pas battu l’Espagne
L’Espagne craint la France car elle s’est systématiquement fait battre en match officiel. Sauf une fois, à Leeds, pendant l’Euro 1996. Mais au cours de ce doux mois de juin anglais, les Bleus ont gagné bien mieux : la naissance de la plus belle équipe de leur histoire.