Il est sans doute le coach de Ligue 1 le moins connu, le moins envié. Pourtant, il est l’un des plus anciens en poste. Mieux, ses résultats sont bons. Et lui se défend d’avoir des idées sur le jeu.
Un Gaulois parti chercher la gloire à Chypre, un pitbull un peu stupide ou encore la vilaine blessure de Fernando Gago. Voilà les joueurs qui ont marqué cette semaine internationale.
Contre Toulouse, le PSG va débuter une série de trois matchs en une semaine (Dynamo Kiev mardi, déplacement à Bastia samedi). Dès lors, Carlo Ancelotti va commencer à mettre en place un certain turnover.
Révélation de Monaco la saison passée, Valère Germain a débuté la nouvelle sur d’excellentes bases. Surtout, le fils de Bruno permet de montrer que l’ASM version Rybolovlev et Ranieri, ce n’est pas qu’une affaire de gros sous et de joueurs étrangers.
La quarantaine approchant, le Black Popeye prépare la sortie de son dernier opus Roi sans carrosse. En attendant, il regarde le monde du ballon rond évoluer. Pour, lui, pas de doute, dans le foot, l’amour est mort.
Dernière recrue du mercato estival de QSI, Gregory van der Wiel a été présenté à la presse hier après-midi. Deux jours après le premier but en Bleu de Christophe Jallet, dont il part pour être la doublure.
Ancien défenseur de clubs poussiéreux comme l’Olympique d’Alès, le RC Strasbourg ou le Perpignan Canet FC, Olivier Dall’Oglio est celui qui mène la barre du Dijon FCO, actuel leader de Ligue 2.
Sans le savoir, Carlo Ancelotti vient peut-être de filer un énorme coup de main à Didier Deschamps. Et par la même occasion, à la France.
Dans le gros chantier de Sabella avec l’Argentine, le positionnement de Di María en milieu relayeur est une première amélioration. Le Madrilène a été un facteur essentiel de la résurrection de Messi en équipe nationale cette dernière année, et plus généralement des bonnes performances de la sélection.
Avec son fair-play financier, l’UEFA s’attaque aux dérives de la dette dans le foot. Très bien. Sauf que trop de dettes tue la dette et, en Espagne, le foot, c’est beaucoup plus qu’un business. Explications.
Après la Belgique, les Pays-Bas, l’Écosse et la Suisse la semaine dernière, suite et fin du tour d’horizon de quelques championnats européens, dont la Russie, l’Ukraine, la Grèce et la Turquie.
Expulsion, suspension, critiques de la presse argentine, mea culpa… La saison a mal commencé pour Ezequiel Lavezzi. Malgré sa grinta, l’attaquant de poche du PSG peine à retrouver le niveau qu’il avait à Naples. Inquiétant ? Pas vraiment.
Avec un zéro pointé en quatre matchs, Sochaux est dans de bons temps de passage pour retourner jouer le vendredi soir en 2013-2014. Un état de fait qui agace au plus haut point Éric Hély, son entraîneur.
Parmi les joueurs pointant à l’UNFP, quelques joueurs expérimentés bien connus des suiveurs de la Ligue 1. Revue de détail.
C’est depuis sa demeure madrilène de tout jeune retraité que Peter Luccin observe les performances de l’équipe de France. Avec recul et franc-parler, l’ancien Colchonero livre une analyse pleine de pertinence du jeu des Bleus.
Au prix de démarches répétées avec le club, les pouvoirs publics et les pompiers, les supporters des clubs de Rosenborg BK et de Valarenga militent pour une nouvelle régulation concernant l’utilisation d’engins pyrotechniques dans les stades.
Deux matchs, deux victoires. Comme dirait Deschamps, c’est là l’essentiel. Pourtant, l’essentiel, justement, est peut-être davantage dans la dynamique et même la progression de l’équipe de France. C’est ténu, c’est léger… Mais c’est réel.
Arrivé en star au PSG, et désormais remplaçant des remplaçants, Diego Lugano continue de porter le brassard en Uruguay. Moins concurrencé avec la Celeste qu’au PSG, Lugano jouit surtout chez lui d’un statut de référent national.
De la pub pour le championnat russe, Raymond Domenech en tête de gondole, Jean Marc Mormeck et Georges Alain de la Star AC qui boivent des smoothies à la fraise. Il y avait tout cela et plus encore à la présentation de la grille de Ma Chaîne Sport.
La zone Amsud des éliminatoires pour le Brésil, ça donne six équipes en trois points, un retardataire (le Pérou) et deux largués (la Bolivie et le Paraguay).
Peu importe le système et les hommes, une équipe qui joue bien au football est toujours faite des mêmes ingrédients : l’équilibre, la création et le mouvement. Comment Didier Deschamps les a-t-il mélangés ?
Le cachou de Konoplyanka face à l’Angleterre, les malheurs de Gerrard, le premier but en sélection de Destro, la Serbie et la Bosnie qui régalent, la passe décisive de Zlatan, les promesses roumaine et suisse, l’implacable Russie…
La Colombie a frappé un grand coup mardi soir en s’imposant sur la pelouse du Chili (1-3). Elle pointe désormais au deuxième rang des éliminatoires. Chemin inverse pour l’Uruguay (1-1).
La D1 féminine a débuté le week-end dernier. Comme d’hab, l’OL a écrasé son adversaire du jour, Rodez (8-0). Comme d’hab, les joueuses de Patrice Lair vont terminer championnes, pour la septième fois consécutive, sans suspense.
En déplacement au Pérou, l’Argentine avait l’occasion de s’échapper en tête du classement des éliminatoires. Dominée presque toute la rencontre, elle ne s’en sort finalement pas si mal avec un match nul (1-1).
Ils ont brillé en Europe et, une fois trentenaires, ont choisi l’Amérique latine. Ils s’appellent Ronaldinho, Heinze, Trezeguet, ou Seedorf. Voici notre compte-rendu hebdomadaire consacré à ces vedettes américaines.
Sous l’impulsion du Munichois (passeur-buteur), les Français sont venus à bout d’une pauvre équipe de Biélorussie (3-1). Jallet et Lloris ont été à l’aise, Évra nettement moins.
Dominatrice, la Belgique doit se contenter du nul (1-1) face à une équipe de Croatie clairement venue à Bruxelles pour prendre un point. Un objectif atteint par les hommes de Štimac qui auraient même pu arracher la victoire sans la maladresse de Vida.
Face à une équipe d’Autriche débordante d’énergie, la Mannschaft a tremblé, chancelé, mais a quand même fini par s’imposer (1-2). Les Autrichiens peuvent être tristes.
Après une première mi-temps relativement correcte, les Bleus ont dû attendre une deuxième période compliquée pour faire la différence face à une faible équipe biélorusse (3-1). Sauf qu’à l’arrivée, ça fait six points sur six.
Sans briller, et sans se donner trop de mal non plus, les Hollandais ont remporté facilement à Budapest leur deuxième victoire dans ces éliminatoires (4-1). Dans ce genre de match à la con, c’est tout ce qui compte.