Un miracle. Voilà ce dont avait besoin Lille pour rester dans la course aux huitièmes de finale. Un rêve fou qui s’est rapidement transformé en cauchemar pour les Dogues, surclassés par une équipe du Bayern tout simplement trop forte (6-1).
Trois matchs, trois défaites : Lille réalise à sa façon un carton plein dans cette Ligue des champions. Mais il reste de l’espoir. Mathématique, déjà, et sportif aussi. Le LOSC reste sur trois victoires consécutives. Et puis, on a le droit de rêver.
Hernan Barcos, un nom qui ne vous dit sûrement rien. Pourtant le joueur de 28 ans enchaîne les buts pour Palmeiras. Appelé pour la première fois en équipe d’Argentine, le pirate a peut-être enfin trouvé un rythme de croisière. Portrait.
Titulaire en début de saison, Alexis est repassé derrière Pedro et Villa. La faute à un gros manque d’efficacité et à sa difficulté à mettre ses qualités au service du collectif catalan. De quoi questionner sa capacité à s’imposer en Catalogne.
Dans sa ville natale de Boulogne-Sur-Mer, Franck Ribéry a ouvert un bar à chicha. Pas la peine d’envoyer vos CV, ici ne travaille que son entourage. La famille, quoi. D’ailleurs, c’est madame qui gère l’affaire.
Pour célébrer la réélection de Barack Obama à la présidence des États-Unis, on aurait pu vous faire un Top 10 des meilleurs joueurs américains ou des pires clubs de l’histoire de la MLS. Mais on a préféré vous offrir un Top 10 des joueurs baraques. Au bas mot.
Le Barça aura attendu 1992 pour soulever sa première coupe aux grandes oreilles. Le Celtic, lui, l’avait déjà fait vingt-cinq ans plus tôt, devenant ainsi le premier club britannique à s’adjuger une C1. Alors, qui est l’exemple ?
Samedi, pour la première fois depuis 49 matchs, la Juve s’est inclinée en championnat contre l’Inter. Ce soir, elle affronte Nordsjælland en Ligue des champions. L’occasion de tout de suite tourner la page. Ou de plonger dans le doute.
Sous prétexte que le LOSC a perdu ses trois premiers matchs, plus personne ne voit les Lillois sortir vivants de leur groupe en Ligue des champions. D’accord, l’affaire est plutôt mal barrée, mais on a trouvé des motifs d’espoir. Dix même.
Chaude ambiance allemande hier soir dans les tribunes et sur le terrain du Bernabéu. Mais pas que. Aussi dans cette fameuse zone mixte d’où sortent toutes ces attendues déclarations d’après-match. Récit d’un autre match, côté coulisses.
Roman Abramovitch, le Russe expat’ à Londres, ou Rinat Akhmetov, l’Ukrainien d’origine tatare né à Donetsk ? Un match qui sent bon les milices d’agents de sécurité, le caviar et les jets ou yachts privés.
Ezequiel Lavezzi ne pouvait rêver adversaire plus faible pour lancer son année au PSG. Mais avec une confiance proche de moins l’infini, l’Argentin d’origine italienne a raté à peu près tout ce qu’il a entrepris. Heureusement qu’il avait Matuidi ou Zlatan à ses côtés.
Alors qu’ils menaient chacun 2-0 en déplacement, Arsenal et l’Ajax se sont fait rejoindre respectivement par Schalke 04 et Manchester City, devant se contenter du partage des points.
Mené deux fois au score, le Real Madrid s’en sort finalement avec le point du nul (2-2), grâce à un coup franc d’Özil au bout du temps réglementaire. D’abord dominateur, le Borussia s’est éteint en seconde période en cherchant à préserver son avantage.
Pas du tout dans leur match, les Montpelliérains se sont inclinés logiquement sur le terrain d’un Olympiakos plus simple et réaliste (3-1). De quoi dire définitivement adieu à l’Europe.
Au terme d’un match qu’il a débuté en seconde période, le PSG l’emporte 4-0 contre une équipe croate faiblarde. La qualification se rapproche. Et Ibrahimovic a servi quatre caviars.
Avec deux victoires en trois matchs, le PSG est bien placé dans sa course aux huitièmes de finale. Pour mettre la pression sur Kiev et Porto, il faudra marcher sur l’une des équipes les plus faibles de la compétition : le Dinamo Zagreb.
Ligue des champions – 4e journée – PSG/Dinamo Zagreb
La gloire de Sammir
La gloire de Sammir
Ce soir au Parc, le principal – seul ? – danger dont devront se méfier les Parisiens s’appelle Sammir. Mais malgré son grand talent et ses jolies stats, le meneur de jeu brésilien naturalisé croate ne fait pas l’unanimité au pays. Les raisons ? L’homme aime la nuit.
On a connu Cafu, Maicon, Daniel Alves. Javier Zanetti aussi. Sûrement d’autres, également. Aujourd’hui, il y a Lukasz Piszczek. Tout comme ses célèbres « prédécesseurs », le Polonais porte une affection particulière pour le côté droit.
De retour de suspension, Garry Bocaly a des envies de revanche face à l’Olympiakos. Désireux de rompre avec le mauvais début de saison des siens, l’ancien Marseillais regarde vers l’avant et espère que le match de ce soir, en Grèce, pourra relancer définitivement son équipe.
En retrait par rapport à ses compatriotes Mario Kempés et Daniel Passarella, René Houseman n’en fut pas moins un grand acteur de la Coupe du monde 1978. Il revient pour So Foot sur l’épisode le plus rock’n’roll de sa carrière.
PSG-Zagreb ou les limites de l’interdiction de déplacement
PSG-Zagreb ou les limites de l’interdiction de déplacement
Manuel Valls avait pris la décision d’interdire la venue des supporters du Dinamo Zagreb sur le territoire français. Apparemment, son inquiétude n’était pas infondée au vu des violents affrontements qui ont eu lieu hier soir dans le quartier de la Bastille à Paris. De quoi légitimement s’interroger sur la méthode employée ?
PSG-Zagreb ou les limites de l’interdiction de déplacement
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Manuel Valls avait pris la décision d’interdire la venue des supporters du Dinamo Zagreb sur le territoire français. Apparemment, son inquiétude n’était pas infondée au vu des violents affrontements qui ont eu lieu hier soir dans le quartier de la Bastille à Paris. De quoi légitimement s’interroger sur la méthode employée ?
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Edin Džeko était une star à Wolfsburg où il plantait banderille sur banderille. Depuis son transfert à Manchester City pour 35 millions d’euros en janvier 2011, Edin joue les seconds couteaux. Un rôle de remplaçant-buteur que l’Angleterre aime tant. Lui beaucoup moins.
Ils ont brillé en Europe et ont fini par revenir en Amérique du Sud. Ils s’appellent Ronaldinho, Fabiano, Fred ou… Bernardi. Voici notre compte-rendu hebdomadaire consacré à ces vedettes américaines.
Caen recevait Le Havre en match de clôture de la 13e journée. En cas de victoire, les hommes de Patrice Garande pouvaient s’emparer de la deuxième place. Chose faite et bien faite grâce à un succès 2 à 0.
Une flopée de buts, pas mal de galères et beaucoup, beaucoup de talent. De retour sur les terrains après une farandole de blessures, Grégory Pujol a fêté dignement sa troisième titularisation de la saison face à Sochaux avec un joli doublé.
Supersonique, extraterrestre, unique. On a tout dit sur ses dents, ses cheveux, ses buts venus d’ailleurs, sa vitesse inouïe, son ventre, ses amours, son palmarès. De ses premières chevauchées aux larmes de l’annonce de sa retraite, voici tout ce qu’il faut savoir sur le numéro 2 de notre Top 100 des plus grands joueurs : Ronaldo Luis Nazário de Lima.
À tout juste 20 ans, Oscar Hiljemark, milieu de terrain d’Elfsborg, vient d’être titré champion de Suède pour la première fois de sa jeune carrière. Il est d’ores et déjà convoité par les clubs néerlandais, toujours à l’affut.