Twitter est un formidable moyen d’expression et d’échanges, mais il est aussi à l’origine de nombreux dérapages. En témoigne le gazouillis tête-à-queue de Djibril Cissé cette semaine. Best of.
C’est officiel, Laurent Blanc entraînera le PSG la saison prochaine. Mais le « Président » ne s’assiéra pas seul sur le banc du Parc. Jean-Louis Gasset, son fidèle bras droit l’accompagnera. Comme lui, ils sont plusieurs à avoir suivi leur maître, ou leur ami, dans les bons moments. Dans les mauvais, aussi.
Ah, les pénaltys. Cela a l’air facile, comme ça. Un plat du pied, efficacité, but. Oui, sauf que cela ne se passe pas toujours comme ça. Parfois, les joueurs essaient quelques fantaisies et se vautrent lamentablement. Vidéo gag.
Le marché des transferts est ouvert depuis le 11 juin dernier. Comme chaque été, on retiendra qu’un joueur a changé de club en apposant son nom en bas d’un contrat. Et dans ces contrats, outre le salaire de l’athlète et la commission réservée à son agent, on y trouve parfois d’étranges clauses ou bonus additionnels. Très étranges. La preuve par dix.
Le Grand Stade de Lille s’appellera finalement stade Pierre Mauroy. D’accord. Si ce choix peut prêter à débat, les supporters lillois ne s’en sortent pas si mal. En effet, partout dans le monde, des stades portent des noms étranges, drôles, voire un peu ridicules. Tour d’horizon.
À l’image du Brésilien Henrique, starlette du dernier Mondial des minots et porté disparu depuis, ils sont nombreux à s’être ramassés après une compétition réussie. On ne parlait que d’eux, on ne jurait que par eux avant de les oublier. Complètement. Définitivement.
Avec une différence de buts de -15 en deux matchs, Tahiti est déjà l’une des pires équipes de l’histoire en phase finale de compétition internationale. En attendant une probable branlée ce soir face à l’Uruguay. Top 10 de ces équipes pour qui l’essentiel était vraiment de participer.
Hier soir, l’Espagne, sans la moindre pitié, a terrassé Tahiti, 10-0, lors du deuxième match de poule de la Coupe des confédérations. Cela n’arrive pas tous les jours, mais on a déjà vu quelques 10-0 mémorables dans l’histoire.
La superbe interview de Joe Kinnear écorchant le nom de Yohan Cabaye en « kebab » a remis sur le tapis une difficulté vieille comme le foot : celle de certains entraîneurs à prononcer correctement le nom de leurs joueurs. Car ce vieux Joe n’est pas le premier à buter quelque peu sur les patronymes. La preuve.
Vous en avez rêvé, vous en avez oublié certaines, vous en avez même porté d’autres. Classiques, ringardes, merveilleuses, horribles, légères ou douloureuses : elles, ce sont les chaussures de football. Classement officiel réservé aux vrais podophiles. Avec un O.