Tandis que Manchester United retrouve petit à petit ses plus belles couleurs et peut encore espérer la deuxième place du championnat, Luke Shaw, acheté 33 millions d’euros l’été dernier, est à la peine. Au point de s’en inquiéter ?
En 2012, Ali Ahamada était annoncé comme un futur très grand. Mais depuis, les choses ont changé. La faute à un soir de septembre 2012 où il réussit l’exploit de marquer un but. Un fait exceptionnel qui coïncide aujourd’hui avec une longue dépréciation.
Avant de rejoindre la Juventus l’été dernier, Roberto Pereyra coulait des jours heureux à l’Udinese. Ce que l’on n’imaginait pas, c’est que le petit Robert puisse s’imposer si rapidement dans l’effectif bianconero. Et bientôt en sélection ?
Après plusieurs camouflets, dont un sur le banc de Sainté, John Toshack est en train de se retaper une street cred’ du côté de Casablanca, au Wydad, désormais leader du championnat marocain, avant le derby de ce samedi contre le Raja.
Nathaniel Clyne n’a que 24 ans, mais il est déjà considéré outre-Manche comme l’un des meilleurs latéraux droits. Le joueur de Southampton, à qui l’on prédit un avenir radieux, a pourtant connu des débuts tumultueux.
Capitaine de l’Angleterre pendant les Coupes du monde 1950, 1954 et 1958, le gentleman Billy Wright a été le premier joueur de l’histoire à atteindre les 100 sélections en équipe nationale. Le cap a été franchi à Wembley le 11 avril 1959, face à l’Écosse.
C’est terminé pour Peter depuis le 30 mars dernier, dans une indifférence quasi générale. La faute à un genou fâché. De Cannes à Dallas, l’homme a côtoyé les plus grand, en se mettant toujours au niveau, sans jamais rien gagner.
Pink Floyd est l’un des plus grands groupes de rock de l’histoire. Ça, on le sait. Ce que l’on sait moins, en revanche, c’est que les membres du groupe avaient leur propre équipe de foot : le Pink Floyd Football Club, aussi connu sous le nom de First Eleven. Rétro.
Il a de la bouteille, mais ne perd pas en saveur. Mieux, à 34 ans, Aritz Aduriz réalise le plus bel exercice de sa carrière. À l’instar d’un grand cru. Retour sur la carrière du Benjamin Button basque.
Galicien plus qu’espagnol, José Ignacio Fernandez Palacios, alias Nacho, est l’un des rares joueurs à avoir refusé de défendre les couleurs de la Roja. C’était en novembre 1995, et le latéral de l’époque de St-Jacques-de-Compostelle avait subi de plein fouet les relents populistes de certains médias.