Difficile de sortir des mecs d’un collectif si bien huilé, pour ne pas dire parfait. Dans cette formation magique que l’on appelle « Roja », ils sont pourtant cinq à s’être montrés un peu plus que les autres…
De Guardiola à Del Bosque, tout le monde loue Sergio Busquets. Mais un grand 6 qui joue comme un compas, on en a vu d’autres. En quoi Sergio Busquets est-il vraiment un monstre ?
Il en faudrait beaucoup moins au reste de la planète pour fondre les fusibles. Mais Vicente del Bosque a beau entrer ce soir dans l’Histoire, c’est surtout un type normal et bien élevé. Ce qui est déjà exceptionnel.
Samedi, la Fédération et Laurent Blanc se sont avoué les choses : l’histoire entre les deux, débutée en 2010 sur les cendres de Knysna, ne pouvait plus se poursuivre. Retour sur la chronique d’une séparation annoncée.
Riccardo Montolivo s’apprête à disputer une finale de l’Euro avec la Squadra Azzurra, et dans la peau d’un titulaire. Néanmoins, au regard de sa saison, il ne mérite franchement pas d’être là…
Tout ça pour ça… Laurent Blanc et la FFF ont demandé un délai de deux jours pour annoncer leur décision : finalement, ils se quittent. À peine libéré, le poste de sélectionneur de l’équipe de France fait déjà des envieux.
Homme fort du PSG depuis son arrivée en 2010, Nene fait l’unanimité chez les supporters. Pourtant, Leonardo ne souhaite pas le prolonger. Sous contrat jusqu’en juin 2013, le milieu gauche envisage donc de partir. Une aberration ?
Cette saison, un seul joueur en Europe n’a pas perdu le moindre match officiel. Il s’appelle Gianluigi Buffon. 44 matches, 26 victoires, 18 nuls : c’est avec cette incroyable statistique que le gardien de la Squadra aborde sa première finale d’un Euro.
La nouvelle Espagne traîne, gère, souffre, mais gagne à la fin. Contre le Portugal, le meilleur joueur était un défenseur. Pendant cet Euro, Ramos n’a pas fait que changer de coupe, il a aussi changé l’Espagne.
Franz Beckenbauer dans les années 70, Lothar Matthäus dans les années 80 et 90, Michael Ballack dans les années 2000. Historiquement, l’équipe d’Allemagne adore les leaders occupant une position axiale. Depuis 2010, il y a Bastian Schweinsteiger.