Meilleur buteur d’un Galatasaray en pleine bourre, Burak Yılmaz a qualifié à lui seul les Sang et Or pour les huitièmes de Ligue des champions, en inscrivant six des sept buts du club. Avant le derby face au Fenerbahçe, portrait d’un buteur. Un vrai.
Guglielmo Stendardo vient de vivre une drôle de semaine. Le défenseur de l’Atalanta n’a pas participé au match de Coupe contre la Roma. Suspendu ? Blessé ? Non non. Monsieur passait ses examens finaux pour devenir avocat. Excusez-le.
Après quelques années de purgatoire footballistique, Obafemi Martins est de retour sur les prés. Dans la banlieue de Valence, il fait les beaux jours du poil à gratter Levante. Un retour au soleil pour le Nigérian à la carrière si atypique.
Un doublé, trois points importants et surtout, un sourire. Le sourire de celui qui prend son pied sur un terrain de foot à bientôt 37 ans. Joueur de cette 17e journée, Cédric Barbosa profite du terrain à 100% et croque dans le ballon à pleines dents.
Depuis quelques jours, une folle rumeur agite le Web. Messi ne serait pas le recordman des buts sur une année civile. Ce record appartiendrait en réalité au Zambien Godfrey Chitalu, 107 buts en 1972. Une idole, en Zambie.
Ce week-end, Boca Juniors a dit au revoir à une autre de ses légendes. À un troisième capitaine en un an et demi. Rolando Schiavi n’avait ni l’élégance de Riquelme, ni l’aura de Palermo. Mais il avait le palmarès d’un grand et l’amour de la Bombonera.
Ce week-end, le Stade rennais n’a pas gagné le derby breton. Mais au fond, on s’en fout, parce que le génie Julien Féret a profité du Breizhico pour inscrire un nouveau but de grande classe. Quoi de plus logique pour un type qui pue le foot à plein nez ?
Il a 17 ans, il joue en deuxième division allemande, au Vfl Bochum, mais Leon Goretzka est déjà dans le viseur de certains grands clubs européens, à commencer par le Real Madrid et le Bayern Munich. Excusez du peu.
Le duel entre l’Inter et le Napoli, ce soir, est aussi celui entre deux des plus grands buteurs en circulation : Edinson Cavani et Diego Milito. L’occasion de les opposer et de les départager, sur des critères bien à nous, évidemment.
Il devait jouer les seconds couteaux au Barça, et le fait toujours. Dans l’anonymat le plus total, Adriano Correia est pourtant en train de réussir l’une de ses plus belles saisons. Et ce n’est pas Tito Vilanova qui dira le contraire.