Hier soir, le PSG s’est qualifié pour les 8es de finale de la C1 grâce à trois facteurs positifs. Les deux premiers buts de Lavezzi sous son maillot, la mauvaise volonté des attaquants du Dynamo Kiev et un bon match de plus pour Salvatore Sirigu.
Le Milan AC, grâce à l’inévitable El Shaarawy et un but venu d’ailleurs de Mexès, assure sa qualification face à Anderlecht, tout comme le Borussia Dortmund sur la pelouse de l’Ajax et Schalke 04 face à l’Olympiakos.
Un début tonitruant du Real, un réajustement de City et un coup de vice du Kun pour un match nul somme toute logique (1-1). Qui élimine Manchester City.
En crise, selon les propres mots de son entraîneur, le PSG a assuré sa qualification pour les huitièmes de finale de la Ligue des champions en s’imposant à Kiev (0-2). Sans franchement convaincre dans le jeu, mais l’essentiel était ailleurs.
Grâce à deux passes décisives de Giroud en deuxième mi-temps, Arsenal est venu à bout de Montpellier (2-0), éliminant le champion de France des compétitions européennes. Les Gunners sont qualifiés pour les huitièmes.
Une seule petite friandise pour stimuler les Montpelliérains dans cette phase de poules de Ligue des champions : la 3e place et un versement en Ligue Europa. Pour cela, il faut battre Arsenal, chez lui. Des Gunners presque qualifiés… s’ils remportent ce match.
Rien qu’un point et le PSG sera qualifié pour les phases finales de la Ligue des champions. Après la désauce contre neuf Rennais en championnat, les Parisiens ont intérêt à rapiécer leur football. Ancelotti les attend au coin de la rue.
De Carlo Ancelotti, on connaissait son côté stratège, humain, proche des joueurs. Depuis dix jours, on est surpris de voir le coach italien élever la voix. Et si le Mister était contraint de changer de méthode ?
Depuis son Euro monstrueux, Sergio Ramos s’est imposé comme l’un des meilleurs centraux du monde. Si ce n’est le meilleur. Le tout grâce à un talent XXL et un caractère bien trempé.
Les punchlines de Loulou, le doigt d’honneur de Girard, les gueulantes d’Estrada ou Jourdren, le coup de coude de Yanga Mbiwa, le poing de Jeunechamp… Cette saison, ce n’est pas sur le terrain que Montpellier fait parler. Entre climat pesant et caractères, explications.