
- Ligue des champions
- Demi-finale retour
- Barcelone/Bayern (0-3)
Piqué appelle au changement



De Xavi, étouffé, aux tocards de devant, Villa et Cesc, le Barça n’a jamais pu croire à la remuntada. Pire, il s’est effondré, chez lui, pour son dernier match de Champions. Poor Barcelonesome cowboy.

Le Français était partout. Partout. Partout. À l’origine de deux buts sur trois, le numéro 7 du Bayern a enterré le Barça à lui tout seul. Cela dit, c’est un ouvrage collectif exceptionnel. Une machine.

Le Bayern Munich est déjà en finale de la Ligue des champions. Ce sont les statistiques qui le disent. Jamais une équipe battue 4-0 à l’aller n’est parvenue à inverser la tendance au retour. Les Catalans peuvent toujours rêver faire mentir l’histoire.


C’est l’histoire d’un homme qui a beaucoup prouvé en tant que joueur et en tant qu’entraîneur, mais qui a toujours souffert d’un manque de reconnaissance. Aujourd’hui, cet homme est sur le point de prendre sa retraite sur un (probable) fabuleux triplé. Et il se pourrait que le football le regrette.


L’Espagne et l’Allemagne, c’est avant tout une histoire sans passion ni haine. Trop loin, trop différents, les deux pays se sont tout d’abord chamaillés avec la France. Mais ça, c’était avant. Avant l’arrivée de Merkel et de cette foutue crise sans issue.
