Il y a cinq ans, Amadou Diawara était un footballeur du dimanche qui évoluait avec l’équipe de sa paroisse, en Guinée. À dix-neuf ans, il est aujourd’hui la nouvelle sensation du Napoli.
Voilà maintenant six ans que Diego Godín est arrivé à Madrid, plus de deux qu’il a donné le titre à l’Atlético et cinq qu’il en est devenu le symbole humain.
Méconnaissable cette saison, l’Argentin était censé permettre au PSG de franchir des paliers, notamment en Ligue des champions. Il n’est pas la seule immense déception de l’histoire parisienne.
Alors que la hiérarchie des gardiens semblait être figée depuis début septembre, les récentes prestations moyennes d’Alphonse Areola ont relancé le débat sur la guerre des goals au PSG.
Depuis le début de saison, Edinson Cavani a su se rendre indispensable et compenser mathématiquement le départ de Zlatan Ibrahimović. Et si Jean-Kévin Augustin devenait sa doublure officielle ?
Accueilli en sauveur par le Camp Nou, Andrés Iniesta demeure le dernier des Mohicans de l’ADN blaugrana. Un chef d’orchestre unique dont la fin de carrière annonce un déclin irrémédiable.
Donner sans jamais recevoir. Tel a toujours été le credo immuable de Mesut Özil au cours de sa carrière. Mais cette saison, le meneur de jeu allemand est devenu plus égoïste. Tant mieux.