Barça/Metz 1984 : « C'est comme si Jimmy Vicault avait tapé Usain Bolt en finale du 100m »
«C’est comme si Vicault avait tapé Bolt en finale du 100m »
Le 3 octobre 1984, le FC Metz signait aux dépens du FC Barcelone l’une des plus grandes surprises de l’histoire des Coupes d’Europe. Metz que un exploit : l’histoire d’une bande de potes, solidaires et soudés comme l’acier. Pierre Théobald a écrit un livre sur cette aventure. Entretien.
Amputé d’un match après le report d’Arles–Brest, le début de la 14e journée de Ligue 2 a une nouvelle fois offert son lot de surprises. Pendant que Tours et Troyes s’enlisaient, Caen et Nancy en ont profité pour grappiller quelques places. Angers s’est emparé de la première, mais l’exploit est pour le CA Bastia, vainqueur pour la première fois de la saison. Du grand n’importe quoi.
Un bon mot vaut parfois mieux qu’une longue phrase. Une devise que Medina Mahfoud, aka Meydina Crewz, s’est appliquée à respecter lors de son passage remarqué sur la twittosphère. Désormais joueuse à Issy-les-Moulineaux après un passage au PSG, c’est donc en toute franchise qu’elle livre ses pronostics pour la 13e journée de Ligue 1. Le tout en 140 caractères, bien sûr.
«Naples et Marseille sont deux villes stigmatisées qui s’accrochent à leur club»
«Naples et Marseille sont deux villes stigmatisées qui s’accrochent à leur club»
Tandis que Marseille se déplace ce soir à Naples pour le compte de la quatrième journée de Ligue des champions, entretien avec l’ethnologue et sociologue du football Christian Bromberger, auteur d’une étude comparée entre l’OM et le Napoli dans les années 1990. L’occasion de voir que les deux clubs ont beaucoup en commun, notamment dans ce qu’il appelle leur « passion partisane ».
Pedro Caixinha : «Quand Mourinho est arrivé, tout a changé»
Pedro Caixinha : «Quand Mourinho est arrivé, tout a changé»
Pedro Caixinha, 43 ans, fait partie de cette nouvelle génération d’entraîneurs portugais influencés par José Mourinho. Dans un hôtel de Guadalajara, le lendemain d’une victoire face aux Chivas (0-2), l’entraîneur lusitanien du Santos mexicain se confie à propos de l’impact du Special One sur son travail et évoque son passé dans le monde de la tauromachie.
Max-Alain Gradel : «Renard a voulu me déstabiliser »
Max-Alain Gradel : «Renard a voulu me déstabiliser »
Max-Alain Gradel n’a joué que 15 minutes face à Sochaux ce samedi. Qu’importe. De retour de blessure, il a apprécié. Et s’il savait qu’il serait remplaçant, le Stéphanois a tout de suite repris ses bonnes vieilles habitudes d’avant-match. Entre prières, musique ivoirienne et bizutage version Drogba…
Olivier Cablat : «Je me balade toujours avec un portrait de Bruno Germain»
Olivier Cablat : «Je me balade toujours avec un portrait de Bruno Germain»
Olivier Cablat fait partie de ces artistes qui s’amusent à secouer les cloisons de l’art contemporain. Il y a quelques années, il publiait ainsi Études typologiques des effets de causalité observés sur des individus exposés à des épreuves physiques à caractère podologique. Un nom à rallonge pour un travail basé sur les cartes Panini, qu’il souhaite renouveler dans un avenir proche.
Avant d’être agent général dans les assurances pour Axa, François Grenet a disputé plus de 200 matchs de Ligue 1, a joué avec l’hymne de la Ligue des Champions en fond sonore, a glané un titre de champion de France avec Bordeaux et a même trouvé le temps de tenter l’aventure anglaise à Derby County avec un renard argenté en attaque. Une expérience pas inutile à l’heure de livrer ses pronos pour la 12e journée.
En 2005, le Mexicain Cristian Flores est sacré champion du monde U17, en compagnie de Giovani dos Santos et Carlos Vela. Huit ans plus tard, l’ex-gardien de 25 ans a déjà pris sa retraite, et officie comme entraîneur-adjoint des Estudiantes Tecos, après avoir travaillé dans une compagnie d’assurances. Il revient sur son parcours accidenté.
Étienne Didot : «J’ai dû supporter deux-trois blagues après le match»
Étienne Didot : «J’ai dû supporter deux-trois blagues après le match»
Passé par Rennes, Didot retrouvait ce samedi ses anciens partenaires au Stadium. Cinq buts et une déconvenue plus tard, il agitait le drapeau blanc et rentrait chez lui pour décompresser. Mais privé de télé par sa tribu et contraint de reporter sa bonne bouffe, Étienne a en plus dû subir les vannes de Romain Danzé et Julien Féret. Dur.