La France championne du monde de foot, ce n’est pas qu’en 1998 ! On se fait peut-être plier sur un vrai terrain, mais en baby-foot, les Français dominent. Hervé Dos Santos, sélectionneur-joueur des Bleus de « football de table », revient sur le titre de champion du monde acquis dimanche dernier.
C’est en 1996, dans un Furiani surchauffé, que la France du football a découvert Mickaël Landreau. 567 rencontres de D1 plus tard, l’ancien Lillois bascule dans le camp turchinu avec pour objectif de battre le record des 602 matchs disputés par Jean-Luc Ettori. Interview.
Ce quatrième Ballon d’or, c’est le sacre de Messi et du Barça. Un club qui a tout misé sur le génie de sa pépite. L’histoire du transfert précoce et des hormones de croissance, on la connaît. Vraiment ? Auteur d’un biographie non autorisée, Alexandre Julliard remet en cause ce conte de fée.
Jean-Michel Abiven était colère en apprenant que le 16e de Coupe de France entre Plabennec et le LOSC était programmé un mercredi à 17h00. Un courroux que l’attaquant de 34 ans a tenu à partager sur le mur Facebook de la FFF. Suffisant pour créer le buzz.
Il y a peu, Romain Stevenon est devenu le super stagiaire après que son blase est parvenu en une des journaux pour avoir fait découvrir Dario Cvitanich à l’OGC Nice. Sauf que l’histoire n’est pas aussi simple. Et surtout beaucoup plus collective.
À 30 ans, Tony Kociszewski en prend plein les yeux. Dimanche, le latéral d’Arras, petit club de CFA 2, jouera le PSG et croisera certaines des plus grandes stars du ballon rond. Conscient que tout a de grandes chances de finir lundi, il décrit « la folie ».
Un Français qui ne joue pas dans l’un des membres du Big Four ou à Newcastle, ça existe. Exemple avec Morgan Schneiderlin, milieu de terrain de Southampton qui joue Chelsea cet après-midi en Cup.
Après deux saisons au Qatar, Abdeslam Ouaddou est revenu cet hiver dans le club de son cœur, Nancy. Libre de tout contrat, le défenseur a proposé ses services au club lorrain… gratuitement. Pourquoi ? Tout simplement car Ouaddou est un homme classe.
Londres, fin décembre, à peine quelques degrés. Gervinho accueille chez lui, dans sa demeure. Peu de meubles, mais de nombreux maillots encadrés au mur et, dans le salon, la grande télé. L’Ivoirien regarde Swansea-Manchester United. Interview.
Il n’y a que l’Angleterre pour jouer au football le lendemain de Noël. Ça a même un nom : le Boxing Day. L’occasion d’une interview avec son inventeur, en quelque sorte, Alex Fynn, l’architecte de la Premier League et ancien directeur de l’agence Saatchi&Saatchi.