Au pays, les fondus de l’Albiceleste ne laissent rien au hasard. La comparaison entre Diego et Léo, entre la dernière victoire de l’Argentine en Coupe du Monde et celle espérée cette année, est à son paroxysme. A tel point qu’un collectif un poil déjanté milite pour que le Ballon d’Or adopte la permanente qu’El Pelusa arbora au Mondial 86. Manuel Antelo, l’un des quatre créateurs du site « La Permanente a Messi », nous parle de ce projet farfelu.
Avant la déroute de Saint-Denis, les Brésiliens avait déjà connu la désillusion un soir de juillet. En 1950, au sortir de la guerre, la Coupe du monde, qui a posé ses valises au pays de la samba, échappe aux Auriverdes contre tous les pronostics. L’Uruguay Céleste réalise ce qui restera dans l’histoire comme le Maracanazo, en s’adjugeant son deuxième titre dans une ambiance explosive.
Neymar da Silva Santos Junior fait trembler les filets et envahi la toile. Auteur de cinq buts contre Guarani, le prodige brésilien de Santos, qui fait le buzz depuis quelques mois, alimente déjà régulièrement la chronique chez les quintuples champions du monde.