L’Espagne a des failles, le Brésil monte en puissance
L’Espagne a des failles, le Brésil monte en puissance
Pendant 15 jours, on a assisté à une bien belle Coupe des confédérations. Le Brésil a réussi son pari en s’imposant à un an du Mondial, l’Espagne a déçu, l’Italie a montré de belles choses et Tahiti nous a fait sourire.
Ce n’est peut-être que la Coupe des confédérations, mais la presse brésilienne a bien pris soin de savourer la victoire de Neymar et ses copains, mais aussi de chambrer la Roja. Du côté espagnol, on préfère donner rendez-vous en 2014.
Le Brésil vainqueur, Torres meilleur buteur, Neymar meilleur joueur. Ça, c’est la FIFA qui distribue. Cependant, il reste des prix à prendre. Et pas des moindres.
Le milieu de terrain du Barça a été le seul – avec Pedro – à proposer quelque chose face au Brésil, trop peu pour empêcher les siens de couler en 16/9. L’Espagne s’est fait broyer dans tous les secteurs de jeu. Une vraie boucherie.
En feu, la Seleção envoie un message retentissant à la planète football en l’emportant largement (3-0) et avec la manière : il faudra compter sur elle l’an prochain. Sans vie, la Roja s’est écroulée de son piédestal.