
- Euro 2016
- Infiltré
On était dans la fan zone avec des vieux
Ils sont rarement maquillés, ce n’est plus de leur âge. Eux, ce sont les seniors de la fan zone. Des vieux quoi. Certains bossaient, d’autres avaient des choses à raconter. Des vieux quoi.

Ils sont rarement maquillés, ce n’est plus de leur âge. Eux, ce sont les seniors de la fan zone. Des vieux quoi. Certains bossaient, d’autres avaient des choses à raconter. Des vieux quoi.

Quelques minutes après le missile de Payet, Florin Răducioiu a débriefé avec nous le match d’ouverture de cet Euro. À chaud.

Victorieuse dans la douleur contre la Roumanie (2-1), l’équipe de France a lancé son Euro entre crispation et manque de sérénité. Décryptage de Stéphane Moulin pour cette entrée en matière.

Près de sept mois après les attentats du 13 novembre, le stade de France enfilait son plus beau costume pour accueillir le match d’inauguration de l’Euro 2016. Alors, c’était comment ?

L’envie d’en découdre, immense. L’attente, interminable. Et puis le grand saut, un faux départ, la parade de Lloris, et la tension, déjà. Jusqu’à Payet. Des pleurs et deux gouttes de génie.


C’est que l’on appelle un bombazo. Trois jours avant l’entrée en lice de l’Espagne, David de Gea se retrouve au pays au cœur d’un scandale sexuel terrifiant. On fait le point.

Il ne fallait qu’un coup de génie. Et il ne pouvait venir que de Dimitri Payet. Et tout s’est terminé dans les larmes et dans les bras de Didier Deschamps

Un gardien pêcheur, un Stanciu rageur et un Popa carreleur. Ça, c’est le joli casting du premier bulletin de notes de la Roumanie.
