Des débordements. De hooligans mais aussi d’amour. Marseille est comme ça : entière. Et au final, au vu de l’ambiance au Vélodrome pour le France-Allemagne, personne ne pourrait s’en passer.
Un toit rétractable, une pelouse de merde et des Britanniques qui chantent « Will Grigg’s on fire » torse nu les pieds dans l’eau de la fontaine de la Grand’Place. C’était l’Euro à Lille.
Un Portugal-Hongrie de folie, une demi-finale d’ennui et un choc des cultures entre Français et Irlandais. C’était l’Euro à Lyon, dans l’outil connecté d’Auras. Et c’était pas mal.