Ary Abittan a cartonné cette année au cinéma, avec les 10 millions d’entrées de Qu’est-ce qu’on a fait au bon Dieu. Avant de partir en tournée à l’automne, Ary prend le temps de parler football et équipe de France, avec le match d’hier, France – Équateur, en toile de fond. Rencontre avec un amoureux du ballon rond.
Après le « tue-l’amour» d’hier soir (dixit Duluc himself), nos joueurs retrouvaient enfin leurs familles après 17 jours de séparation. Et c’est toutes les femmes de France qui les remerciaient. Toutes, sauf Helena Costa, bien sûr.
Un 0-0 n’est pas forcément inintéressant. En revanche, la nouvelle mi-temps des Bleus jouée en supériorité numérique réduit la portée de l’analyse de ce France-Équateur. Face à une équipe d’Équateur jouant à la vie, à la mort, les Bleus ont résisté, ont réussi à jouer, mais n’ont pas marqué. En fait, ce n’était même pas le but.
Pas de but, mais une première place. Pas de gros score, mais certaines certitudes. Finalement, ce match aura eu le mérite d’apporter des enseignements. Et non des moindres. Comme l’importance de Mathieu Valbuena. Si, si.
