Après avoir parcouru le monde entier, le trophée de la Coupe du monde a terminé son périple à São Paulo à deux pas du Itaquerão, où aura lieu le match d’ouverture. Et comme à chaque étape de son périple, il avait un gardien qui veille sur lui. Cette fois, c’était Roberto Rivellino. Le plus moustachu des champions du monde 70.
Il est croate d’origine et d’ambition, mais il dit parfois « nous » quand il parle de la France. Grégory Sertic (24 ans), capitaine des Girondins et deuxième meilleur passeur de Ligue 1 derrière Zlatan*, n’ira pas au Brésil avec la Coatie (qui affronte le Mali en match de préparation). La faute à pas de chance ou à la FIFA, c’est selon.
Avant que la fête ne débute le 12 juin, on fait connaissance avec les 32 invités. Après le pays hôte, place à ceux qui auront l’honneur de mettre les pieds sous la table en premier : les Croates. Des hommes qui connaissent le Brésil (Srna, Eduardo), mais qui possèdent surtout la doublette fatale de la compétition : Rakitić – Modrić.
Au Brésil, les Lions indomptables disputeront leur septième Coupe du monde. Probablement pour se faire éliminer au premier tour, comme lors de cinq de leur précédentes participations. Parce que contrairement à ce que sous-entend José Mourinho, non, Eto’o n’a pas 38 ans, l’âge qu’il a fallu à Milla pour hisser les siens en quarts en 90.
Avant que la fête ne débute le 12 juin, on fait connaissance avec les 32 invités. Et comme on est poli, honneur à celui qui s’est ruiné pour accueillir tout ce petit monde : le Brésil. Une sélection qui a plus d’étoiles sur le maillot que sur le terrain, mais qui entend bien réaliser la passe de six le 13 juillet prochain.