





Un Clásico, sans gardiens de but titulaires des deux cotés, sans buts de Messi/Ronaldo, sans scandale arbitral. Un duel au sommet bizarre et à la fois intense. Revue d’effectif d’un match qui ne ressemble à aucun autre.


Et Raphaël Varane surgit… Auteur de 90 minutes de haute volée, le Nordiste a offert une égalisation qui paraissait alors inespérée au Real Madrid. Le Barça peut de son côté se les mordre, car il avait la place de mieux faire.


Ce soir se joue le sixième Clásico en un an. Il n’y a que les imbéciles qui trouveront une raison de s’en lasser. Comme tous les chefs-d’œuvre du monde, le contenu importe peu. Ce qui est beau dans un classique, c’est le style.

Tito Vilanova parti en cure à New-York, c’est son adjoint et ami Jordi Roura qui sera sur le banc pour ce premier Clásico annuel. Un changement qui ne devrait pas perturber le Barça : Jordi a tout du Tito de substitution. Ou presque.