Bon, ce n’est pas tout, mais il commence à être franchement plat, ce marché des transferts. Pas de véritable gros coup aujourd’hui. L’info la plus intéressante demeure peut-être la rumeur Lloris à Tottenham. Oui, parce que Paulão qui quitte Saint-Étienne pour le Bétis Séville, hein…
Que ce soit par stratégie sportive, conviction gustative ou simple jalousie, peu importe, José Anigo aurait apparemment pris la première grosse décision depuis l’annonce du départ de Didier Deschamps : supprimer les crêtes à l’OM.
Coup de théâtre à Lisbonne. Alors que Jorge Jesus s’apprête à donner la liste des joueurs qui l’accompagneront à Évian pour le premier stage de la saison, l’entraîneur portugais annonce ne plus compter sur Witsel et Gaitán.
Toujours pas de grosse folie dans ce mercato estival. Le gros coup de la journée, c’est François Clerc qui signe à Saint-Étienne, c’est dire… Sinon, Park va à QPR, Elano à Gremio et Jovetić est convoité par la Juve et Arsenal.
Cette semaine, sur Twitter, on a aimé des hommes, mis des muselières et enfilé des soutiens-gorge. On a aussi maté des grosses au sport, revu les Frères Scott à la maison et fumé des joints avec des meufs.
L’éventuel départ du tout jeune Marco Verratti relance la polémique en Italie : est-ce une bonne chose de laisser partir les talents en devenir à l’étranger ? Un débat déjà alimenté par les départs, les saisons précédentes, des Giuseppe Rossi, Sirigu et Balotelli.
Le Real Madrid ne peut se satisfaire du simple titre de champion d’Espagne de 2012. Il lui faut plus. La C1, par exemple. Ça tombe bien, José a un plan pour y remédier en 2013.
La France tout juste socialiste s’est en partie initiée au football de haut niveau un soir de canicule de l’été 1982. Par la grâce de deux équipes et d’un arbitre mal inspiré. On rembobine…
Les transferts ne prennent pas de vacances, encore moins le week-end. Ainsi, lors des 48 heures qui viennent de s’écouler, Salomon Kalou a signé à Lille, Vertonghen à Tottenham, Jackson Martínez à Porto et Milan a lancé la transaction pour Andy Carroll.
En Campanie, pas loin de Naples, une petite ville de 7 000 âmes s’est fait une spécialité de fournir des champions à toute l’Italie. Décryptage de Castello di Cisterna, un succès qui, encore aujourd’hui, est bien dissimulé.