Pas de troisième victoire de rang pour les Lensois mais un match nul encourageant. Tour à tour meneurs puis menés, Lensois et Clermontois se partagent finalement les points. Score final : 2-2. Les Nordistes restent treizièmes, les Auvergnats quatorzièmes.
Ce week-end en Liga Sagres, on a vu des buts moches, les trois gros gagner mais surtout Jorge Jesus aligner des Portugais. Un choix qui permet à Benfica d’occuper la première place du classement. A part ça, Pinto da Costa a fêté sa millième cap comme président du FC Porto…
Cette semaine sur Twitter on a joué avec David Guetta, laissé les femmes à l’arrière des voitures et bu du Tropico. On a aussi perdu le Tour de France, récupéré ses cheveux, cité Michel Drucker et fait une fausse crise cardiaque. Une semaine qui triche.
OL-OM annulé pour cause de vent, Sochaux-Évian reporté suite aux intempéries, c’est une journée tronquée qui a animé la France du football. Pas de quoi empêcher Zlatan de marquer ni Lorient et Ajaccio de livrer un match de dingues.
La Serie A nous avait habitués à mieux, cette saison. À plus de buts, de qualité de jeu. Et moins d’erreurs d’arbitrage et de cartons. Ce ne sont ni la Juve, ni la Fiorentina qui s’en plaindront. Hormis tout ça, l’Inter est toujours inarrêtable, et la Roma irrégulière.
Mené 2 à 0 dans le Superclásico, Boca Juniors est finalement allé chercher le match nul dans les arrêts de jeu contre le River Plate de Trezeguet, éteignant un stade Monumental en totale fusion pendant toute la rencontre. Le tout devant Éric Cantona.
Juan Mata marche sur l’eau. En affichant un niveau toujours plus proche de l’impressionnant, l’Espagnol a sauvé les Blues des eaux. Côté Red Devils, le duo Rooney – Van Persie a ambiancé une rencontre où les attaques ont pris le pas.
Invincible en championnat depuis le début de la saison, le Bayern Munich, privé de Ribéry, est tombé face au Bayer Leverkusen (1-2). Une défaite dont n’a pas profité Francfort. De son côté, Gladbach a vécu une sacré semaine.
Après plusieurs mois d’invincibilité en championnat, les Girondins ont explosé en plein vol à Furiani (3-1). Dominés sur le terrain du réalisme, ils ont fait illusion dans le jeu. Bordeaux reste à quai.
Un match de très haut niveau, mais quelques boulettes défensives. Un match on ne peut plus intense, mais un arbitre on ne peut plus idiot. Ou comment gâcher la fête, aider ces diables de Manchester (3-2) et accentuer le Blues de Chelsea.