Comme à l’aller, le Real Madrid s’est imposé facilement face à l’Ajax Amsterdam (4-1). Une rencontre dont peu d’enseignements sont à tirer. Si ce n’est que le Real a déjà la tête à samedi. Voire à février.
Le scénario était prévisible : au terme d’un match pas folichon, le Borussia Dortmund l’emporte 1-0 face à une équipe de Manchester City totalement démotivée. Les Citizens n’accrochent donc même pas l’Europa League.
Éjecté du podium en championnat après une défaite à Nice et éliminé de la Coupe de la Ligue, le PSG revit en Ligue des champions. Grâce à leur victoire contre Porto (2-1), les Parisiens affronteront un deuxième de poule en huitièmes de finale.
Même si le PSG est déjà qualifié, ce dernier match de poule de C1 contre Porto est tout sauf anecdotique pour Carlo Ancelotti et ses hommes. En jeu : la première place du groupe, leurs têtes mises à prix et le mot crise demain en Une du quotidien sportif préféré des Français.
Être supporter du PSG tient du masochisme. Être joueur au PSG est un chemin de croix. Et être stagiaire au PSG est loin d’être une sinécure. Voici la tranche de vie (imaginaire) d’un précaire dans un club qui pèse 300 millions d’euros. Ou presque.
Ils ont brillé en Europe et ont fini par revenir en Amérique du Sud. Ils s’appellent Ronaldinho, Trezeguet, Ze Roberto, ou Forlán. Voici notre compte-rendu hebdomadaire consacré à ces vedettes américaines.
Trois défaites en cinq matchs, une crise qui veut absolument s’installer, un entraîneur en colère contre toute son équipe et un retard de cinq points sur le leader lyonnais. Et si Carlo Ancelotti n’était pas fait pour le championnat de France…
Cette semaine sur Twitter, on a perdu son français, essayé de se marier et prévu de s’épiler. On a aussi bu du sang, changé son tampon, fait des doigts d’honneur et déclaré la guerre. L’hiver vient.
Lyon leader facile, Marseille qui se réveille, Paris qui veut tout changer, Rennes qui revient de nulle part, Bordeaux qui marque le pas et Dario Cvitanich qui s’amuse. Un week-end encore bien sportif sur les pelouses de France.
Largement dominatrice face à une Sampdoria venue jouer le contre, la Fiorentina n’est pourtant pas parvenue à accrocher la victoire, pourtant nécessaire pour recoller au wagon de tête (2-2). Ce n’est pas la Roma qui s’en plaindra.