Le Milan AC réalise un début de saison plutôt controversé. Neuvième en championnat, le club rossonero a, hier soir, arraché le nul sur la pelouse de l’Ajax. Mais ce qui étonne le plus, c’est que Milan a pris la fâcheuse habitude de toujours attendre les dernières minutes pour se donner un coup de fouet.
«La passion autour de Benfica, c’est plus fort que PSG et OM réunis»
«La passion autour de Benfica, c’est plus fort que PSG et OM réunis»
Il paraît que Paris est la deuxième ville du Portugal. Alors quand on est parisien et d’origine portugaise, PSG-Benfica ne peut pas être tout à fait un match comme un autre. Un match où il faut choisir son camp et mettre la Super Bock au frais.
Deux ans après le miracle de la Ruhr favorable à la bande à Deschamps, celle de Baup a pris cher mardi soir face à un Borussia Dortmund (3-0) énervé cette semaine, avec huit buts claqués en quatre jours.
Les démonstrations de Chelsea et d’Arsenal, les jolis coups de l’Atlético à Porto et de Schalke 04 à Bâle, sans oublier les dernières minutes un peu folles d’Ajax face à Milan, avec l’inévitable Balotelli dans le rôle de l’escroc : le résumé de la soirée de Ligue des champions, c’est ici.
Entre l’OM et le Borussia Dortmund, le suspense n’a pas duré plus de quinze minutes. Supérieurs dans presque tous les secteurs du jeu, les Allemands empochent logiquement les trois points (3-0).
Sérieusement contrarié par le Celtic, le Barça a dû attendre une supériorité numérique et un but de Fàbregas en fin de partie (1-0) pour ramener les trois points d’Écosse. Sans Messi, le Barça gagne aussi.
Dans ce groupe F de la mort, Arsenal et Naples sont partis du bon pied en s’imposant contre Marseille et Dortmund lors de la 1re journée. Autant dire que s’il y a un vainqueur ce soir, il aura fait une bonne partie du chemin pour la qualification.
Le dicton est formel : « Septembre est souvent comme un second et court printemps ». Perdu au milieu des masses d’air et de la montée des eaux prochaine, Sofoot.com donne la météo du mois dernier. Au moins, les risques de se planter sont faibles.
On était à Panionios Athènes – Olympiakos Le Pirée
On était à Panionios Athènes – Olympiakos Le Pirée
Quitte à être à Athènes un jour de derby, autant aller au stade. Et tant pis s’il ne s’agit pas d’un des grands classiques de la Superleague grecque : l’ambiance est au rendez-vous au stade Nea Smyrni. Une grosse ambiance à la grecque comme on les aime.
Paris, Monaco et Marseille sont déjà devant. Après huit journées, le futur podium se dessine déjà. Derrière, on commence à perdre l’OL et Saint-Étienne. Salement.