Cette soirée s’est jouée dans le money time. Menée par la Hongrie, l’Irlande du Nord a obtenu le match nul (1-1) dans le temps additionnel, tandis que le Portugal a grillé l’Albanie sur le fil (0-1).
Nabil Fekir ne reverra pas les terrains de football avant au moins six mois. Rupture des ligaments croisés du genou pour lui. Clairement la pire blessure pour un footballeur. Voilà pourquoi.
C’est reparti, top hebdomadaire réactualisé des joueurs qu’il faut suivre en priorité. Pour ce qu’ils font sur le terrain, que ça fasse mouche, ou pas. Parce que plus que de gagner, ce qui compte, c’est de faire vibrer.
Mourinho l’avait résumé ainsi après une défaite de Chelsea contre Galatasaray : « Notre adversaire n’a pas joué avec 11 joueurs, mais avec 50 000. » Les soirées sont parfois chaudes en Turquie, comme ont pu l’expérimenter les Pays-Bas dimanche.
Alors que Silvio Berlusconi et la société Fininvest s’apprêtent à vendre 48 % des parts du Milan AC au Thaïlandais Bee Taechaubol, de plus en plus de doutes émergent sur l’affaire. Pour une rupture des négociations à quelques mètres de l’arrivée ?
L’Islande se qualifie, mais a déçu, tandis que la Belgique a arraché une victoire inespérée contre Chypre. La Bosnie, quant à elle, s’est donné le droit de croire aux barrages en explosant l’Andorre.
Une ouverture du score après 5 minutes de jeu, mais un résultat final identique : comme contre Malte, l’Italie s’impose 1-0 et s’empare de la tête de son groupe. L’Euro est tout proche.
Surprise, le pays de Galles n’est pas encore qualifié pour l’Euro. La République tchèque a validé son billet pour la France en Lettonie, tandis que la Norvège a surpris la Croatie.
Solidaire, inépuisable, infranchissable. Dans un match capital, la Turquie a marché sur les Pays-Bas (3-0) grâce à un Arda Turan de gala. Les Turcs chipent la troisième place, synonyme de barrages, aux Oranje qui voient l’été en France s’éloigner.
À l’occasion de la journée internationale de la sensibilisation aux vautours, un regard du côté de Rio de Janeiro avec l’urubu du Flamengo. Histoire d’un symbole entre racisme et fierté.