
- Angleterre
- Premier League
- 19e journée
En direct : Chelsea – Liverpool (2 – 1)
97′ : Messieurs, à mercredi. Faîtes pas les fous le 31.
97′ : Messieurs, à mercredi. Faîtes pas les fous le 31.
95′ : On attend impatiemment le Chelsea-Liverpool de cet après-midi. Allez, bon dimanche.
Derrière un Bayern intouchable, les bons points se distribuent par poignées, les déceptions sont nombreuses et les cancres se réchauffent au fond, près du radiateur. La rudesse de l’hiver germanique.
95′ : C’est fini au Carrow Road. Les Red Devils ne se sont peut-être pas rassurés dans le jeu, mais n’ont au moins pris aucun but. Danny Welbeck a réveillé la maison mancunienne qui s’était empêtrée dans le médiocre en première période. Norwich enchaîne un 4ème match sans victoire alors que Man United aligne sa 4ème victoire consécutive.
Parce que ces tarés d’Anglais continuent de jouer au football même pendant les fêtes, célébrons-les avec un focus sur six clubs cultes du pays qui évoluent actuellement dans les divisions inférieures. Première « rise and fall story », celle de Portsmouth FC, passé en une poignée de saisons de la Premier League à la D4 et provisoirement sauvé de la disparition par un innovant consortium de supporters.
Même si le championnat anglais, tradition oblige, ne s’arrête pas durant les fêtes, on s’est quand même laissé aller à un premier bilan scolaire de cette première partie de saison. Les bons élèves sont surprenants, les déceptions aussi, quand aux futurs redoublants, c’est déjà triste.
Certains se sont énervés. D’autres se sont lâchés. Parfois même, quelques-uns ont carrément merdé. De Zlatan à Franck Ribéry en passant par Valérie Fourneyron, tous ont néanmoins un point commun : en 2013, ils ont parlé. Petit florilège de ces phrases qui ont égayé l’année.
2013 a offert aux fans de foot son lot de finales, de blessures, d’exploits individuels, de transferts à des tarifs toujours plus démesurés et de contre-performances. Rien de tel que quelques « graphics interchange formats » pour illustrer métaphoriquement tout cela. Des gifs, quoi.
Trop divisée, trop starifiée, trop bipolarisée, la Liga est pour vous le royaume des inégalités. Pourtant, détrompez-vous, à cette mi-saison du suspense il y a, et en fin de saison des surprises, il y en aura. Et l’Atlético de Simeone y est tout, sauf étranger.
Elles sont partout, mais ne servent pas à grand-chose. Depuis 20 ans, les statistiques sont plébiscitées par tous les acteurs du ballon rond, et pas seulement les médias. Plongée dans l’univers de la fée mathématique, qui pourrait bien à terme supplanter le football, ses incertitudes et sa magie.