Pourquoi l'hymne de la Ligue des champions nous excite tant ?
Pourquoi l’hymne de la Ligue des champions nous excite ?
Depuis plus de 20 ans, la douce mélodie de la Ligue des champions électrise et donne des frissons, aux joueurs comme aux téléspectateurs. Retour sur la genèse et les caractéristiques de l’hymne de la C1, aux confluences du marketing et de la musique classique.
Quatre coups de poignard, et le PSG est en quarts. Trop facile, ou presque, pour les Parisiens, qui ont réussi là où ils avaient échoué l’an dernier à Valence. L’occasion d’analyser la possession de Laurent Blanc, l’évolution du jeu d’Ibrahimović, la folie du talent de Verratti et la progression de la maturité parisienne.
Le petit hibou a été énorme face au Bayer Leverkusen. Facile, impressionnant, éloquent, utile, bref, Marco Verratti a calmé tout le monde. Y compris Frédéric de Saint-Sernin.
Surpuissant, le PSG n’a pas manqué son entrée dans la 2e phase de la Ligue des champions. 4 buts, une démo et la qualif’ déjà acquise à l’extérieur : Leverkusen en tremble encore.
Vainqueurs 2 à 0 au terme d’une rencontre étrange, les Barcelonais quittent Manchester avec un bon avantage. Réduits à dix suite à un tacle demichelesque de Martin, les joueurs de City, d’abord trop passifs, ont relevé la tête en fin de partie. Le moment choisi par Dani Alves pour doucher tous leurs espoirs.
Hier après-midi, l’Ajax de Frank de Boer a battu le Heerenveen de Van Basten à l’ArenA (3-0). Une bonne occasion de reparler un peu du grand Marco, coach forcément remarqué d’un petit club qu’il a fait grandir… et qui l’a fait grandir ?
France – Ligue 1 – Ce qu’il faut retenir de la 25e journée
La lutte est belle… derrière Paris et Monaco
La lutte est belle… derrière Paris et Monaco
PSG et AS Monaco tranquilles vainqueurs ce week-end, c’est derrière que ça continue de ferrailler sec pour les accessits européens : Lille piétinant toujours, Saint-Étienne et Marseille se neutralisant, la bonne affaire est pour Lyon, avec Reims en invité surprise. En bas de tableau, Guingamp inquiète.
Égal a lui-même, Brandão a frôlé le ridicule avant de planter un but décisif. Fidèle à ce qu’il était, Nkoulou a régalé, tout en sérénité et en maîtrise. Souleymane Diawara, lui, a eu du bol de jouer 90 minutes.