Pendant qu’Istres a définitivement dit adieu au maintien en s’inclinant face à Dijon (2-4), Lens et Caen ont chacun loupé le coche en se faisant surprendre par Brest et Tours devant leurs supporters. À l’issue de cette journée palpitante, deux places restent à prendre pour l’élite et une, la pire, pour la descente en National. Frissons garantis dans une semaine.
95′ : C’est terminé! Gros raté des Lensois, qui s’inclinent 1 à 0 à Bollaert face à Brest et devront prendre un point à Bastia pour assurer sa montée. Les Bretons confirment leur statut d’emmerdeurs. Bravo à eux.
Lancée mercredi dernier, la rumeur annonçant Zinédine Zidane sur le banc bordelais la saison prochaine a de quoi faire sourire. Mais à y regarder de plus près, elle semble beaucoup moins saugrenue qu’il n’y paraît.
Le derby du week-end – Équateur – Emelec/SC Barcelona
Bataille navale en Équateur
Bataille navale en Équateur
Dimanche, c’est jour de fête à Guayaquil, le grand port d’Équateur : les deux grands rivaux de la ville, Barcelona et Emelec, s’affrontent dans un derby passionnel surnommé « El Clásico del Astillero », le classique du chantier naval. Ces deux institutions du football équatorien, en retrait pendant plusieurs années, sont actuellement en plein renouveau. L’occasion est belle d’en conter l’histoire.
Demain soir contre la Lazio, Javier Adelmar Zanetti jouera son dernier match dans le stade qui l’a consacré capitaine éternel de cette Inter des années 1990 et 2000. Pour mieux raconter l’Argentin, on a confié la tâche à ceux qui l’ont connu, ses anciens coéquipiers et entraîneurs : Dejan Stanković, Nicola Berti, Alberto Zaccheroni, Angelo Palombo, Gian Piero Gasperini, Benoît Cauet et même Francesco Coco…
Quel cliché régional sur les autres maillots de Ligue 1 ?
Quel cliché régional sur les autres maillots de Ligue 1 ?
Mardi, et après le maillot surfeur de l’année dernière, les Girondins de Bordeaux ont décidé de tabler sur une autre spécialité régionale, en présentant un maillot spécial, édition « Grand Cru », aux couleurs des vignobles de la région. Une idée originale qui pourrait faire son chemin dans d’autres clubs de Ligue 1.
Paris champion, le reste c’est du bidon. Après 1986, 1994 et 2013, le PSG vient d’accrocher un quatrième titre de champion. Et dans cette folie, l’effectif a répondu présent quand il le fallait. Derrière le génie de Zlatan, Laurent Blanc a pu compter sur des cracks, mais a quand même dû faire avec des cas sociaux. Bulletin de notes.
Il va y avoir photo-finish en Belgique et en Russie
Il va y avoir photo-finish en Belgique et en Russie
La saison 2013-2014 de football touche à sa fin dans la grande majorité des championnats européens. Et pour les amateurs d’épilogues à suspense, il y a le choix entre la Belgique, où le Standard garde la tête malgré la pression de la concurrence, et la Russie, où Zénith et Lokomotiv se tirent la bourre.
En annonçant hier la nomination d’une femme, Helena Costa, pour remplacer Régis Brouard à la tête de son équipe première, Clermont Foot a pris tout le monde à contre-pied. Modernité, défense des droits de la femme et visibilité positive, le petit club de Ligue 2 fait déjà une affaire en or question image.
En quoi le PSG a-t-il changé tactiquement avec Laurent Blanc ?
En quoi le PSG a-t-il changé tactiquement avec Laurent Blanc ?
« Au PSG, les joueurs gagneraient même sans Ancelotti. Même moi, je pourrais gagner avec eux. Et je gagnerais peut-être même encore plus qu’Ancelotti. » Ces propos sont signés Maurizio Zamparini, en février 2013. Finalement, tout comme Ancelotti, Laurent Blanc aura amené le PSG sur le toit de la France et en quarts de finale de la C1. Une Coupe de la Ligue en plus, certes, mais aussi un traumatisme londonien qui n’est pas près de cicatriser. Alors, en quoi le PSG a-t-il changé ?