Comment Arsène Wenger a-t-il essayé de freiner le Bayern de Pep Guardiola à l’Emirates ? Au-delà du résultat (2-0), qui cache une partition bavaroise très intéressante, qu’est-ce qui a permis aux coéquipiers de Sánchez de réussir leur coup ?
Déjà dos au mur à l’heure d’affronter le Zénith Saint-Pétersbourg, l’Olympique lyonnais n’a pas réussi à déjouer les pronostics et s’est incliné face à une équipe plus maligne qu’elle. Dommage de dire adieu à la C1 dans de telles conditions.
Pendant 60 minutes, la Roma a très certainement réalisé la plus belle prestation de l’ère Garcia. Pourtant, et malgré une folle remontée, elle repart de Leverkusen avec de gros, gros regrets.
Il ne reste plus qu’un week-end de saison régulière à disputer en Amérique du Nord avant la loterie des play-offs qui désignera le champion 2015. Un titre que convoitent Drogba, Gerrard et Giovinco, mais pas Kaká, Lampard, Pirlo et Villa, déjà éliminés.
Le verdict de chaque groupe commence peu à peu à se dessiner. Barcelone, Valence ou Porto sont ainsi bien partis pour se qualifier. Chelsea devra en revanche batailler jusqu’au bout.
Dans un match vital pour leur survie dans cette Ligue des champions, les Lyonnais ont chuté face aux Russes. Sans démériter, ils repartent avec trois buts, beaucoup de regrets et de rares espoirs dans les valises.
Quel match de dingue ! La définition même de la folie. Menée 2–0, la Roma a réussi à renverser le Bayer 4–2, avant de craquer dans les dernières minutes. Score final : 4–4.
Pour une fois, l’équipe de Wenger a abandonné la possession. Normal, c’était le Bayern en face. Mais à la fin, ce sont eux qui s’imposent sur un but bien chanceux de Giroud et un second pion d’Özil (2-0).
Le Parc des Princes, genèse de la légende madridista
Le Parc des Princes, genèse de la légende madridista
Déjà dix fois vainqueur de la coupe aux grandes oreilles, le Real Madrid aime à se définir comme son propriétaire. Une vérité quelque peu prétentieuse qui n’aurait vu le jour sans une première finale haletante face à Reims… au Parc des Princes.
Des scores fleuves, un quadruplé, un triplé, deux doublés, des cadors en pleine forme, la première de Klopp, des artistes encore de sortie et encore Dimitri Payet. Un week-animé chez les Anglais.