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À Barcelone, l’été s’annonce chaud
En raison d’élections présidentielles, le FC Barcelone s’apprête à connaître une période estivale pleine de turbulences. Le début d’été blaugrana sera chaud autant que politique.

En raison d’élections présidentielles, le FC Barcelone s’apprête à connaître une période estivale pleine de turbulences. Le début d’été blaugrana sera chaud autant que politique.

Quelques jours avant le début de la déroute asiatique, la France reçoit la Belgique pour un amical où les camouflets vont se succéder entre défaite, mutisme et étoile anticipée…

La finale de Ligue des champions entre Barcelone et la Juventus de Turin devait être l’occasion des retrouvailles entre Luis Suárez et deux de ses victimes, Patrice Évra et Giorgio Chiellini. Si le premier sera sur le terrain, l’Italien, blessé, n’est pas de la partie. Ce qui ne devrait pas empêcher l’attaquant de faire le show et de blesser de nombreuses sensibilités. Dont la sienne. Une routine.

Si, en soi, participer à sa troisième finale en sept campagnes est déjà une performance exceptionnelle, le Barça s’est cette fois-ci offert une cerise sur le gâteau : réveiller le mythe de la Coupe d’Europe des clubs champions.

5. Comme le nombre de fois où la Juventus s’est inclinée en finale de C1. Personne n’a fait mieux. Il aura fallu attendre 1985, et une finale dans l’enfer du Heysel, pour voir la Vieille Dame soulever son premier trophée. 5 défaites en finale, ça se fête.

Pour beaucoup, la dream team de Johan Cruijff répond aux noms de Romário, Laudrup, Guardiola ou encore Stoichkov. Pourtant, la colonne vertébrale de ce grand Barça des 90’s était basque. Pourquoi ? « Parce qu’ils étaient plus vaillants », mais pas que.

Le PSG de Zlatan Ibrahimović contre l’AJ Auxerre de Pierre Bouby. Sur le terrain, ces deux équipes ont peu de chances de rivaliser. Pour le PSG, le quadruplé national passe par une victoire contre un pensionnaire de deuxième division. Tout sauf un cadeau.

Hellas Vérone/Juventus. Une rencontre sans grand enjeu, excepté pour Carlos Tevez, qui tentera de récupérer sa place de meilleur buteur de Serie A, chipée le week-end dernier par un certain Luca Toni.

En 2013, on s’était régalé avec Pogba, Kondogbia, Bernat ou Harry Kane. Deux ans plus tard, le monde s’apprête à découvrir une nouvelle génération de U20 à travers ce qu’il se fait de mieux pour un recruteur : un Mondial des moins de 20 ans.

Athletic comme Barça sont des clubs ô combien chargés d’histoire. Fiefs d’une certaine idée du Pays basque et de la Catalogne, ils ont tous deux connu de nombreuses péripéties durant le règne de Franco. Retour en anecdotes sur cette période noire de l’Espagne.