
- Liga
- 37e journée
La Liga parallèle n’est pas terminée
OK le Real est champion, OK Guardiola a déjà annoncé qu’il quitterait Barcelone à la fin de saison, mais la Liga n’est pas terminée. Tour d’horizon.

OK le Real est champion, OK Guardiola a déjà annoncé qu’il quitterait Barcelone à la fin de saison, mais la Liga n’est pas terminée. Tour d’horizon.

En fin d’après-midi (18h15), Chelsea et Liverpool ont rendez-vous dans la plus prestigieuse arène du monde pour essayer de gagner le plus vieux trophée de la planète football.

Depuis mercredi soir et cette erreur de Gigi Buffon, le Milan AC n’est plus qu’à un point de la Juve. C’est avec cet état d’esprit du « plus rien à perdre » que les Milanais abordent un derby qui pourrait s’avérer décisif.

Les Parisiens n’attendaient que ça. Tenus en échec (2-2) sur leur pelouse face à Evian, au terme d’un match rocambolesque, les joueurs de Montpellier, alors tranquilles leaders de Ligue 1, commencent à trembler.

Le Real Madrid risque bien d’être champion à Bilbao ce soir. Du coup, à quelques jours des grandes échéances, les petits gars de Bielsa n’ont pas grand-chose à gagner. Si ce n’est un peu de confiance en eux. Présentation.

Il y a quinze jours, l’affaire était pliée : Manchester United filait tout droit vers son vingtième sacre. Et puis patatra, voilà les hommes de Fergie obligés de jouer leur titre dans un derby décisif.

Après la victoire de Montpellier vendredi à Toulouse, le PSG n’a pas le choix : il doit gagner ce dimanche soir. Sans quoi, bye-bye les rêves de titre.

Au moment d’affronter Sochaux à Bonal cet après-midi (17h00), les Girondins, qui n’ont quasiment plus rien à jouer, veulent faire bonne figure, histoire de sauver la saison. Le plus drôle, c’est qu’ils y croient.

Deux semaines après avoir laissé filer une première finale, les Lyonnais retrouvent le Stade de France (20h45). Où il faudra cette fois composer avec la dernière chance de titre de la saison et la menace d’une humiliation de trop.

Pointés du doigt pour des actes racistes en tribune et en dehors, les supporters lyonnais sont dans le collimateur des pouvoirs publics.