L’information n’est pas passée inaperçue : c’est une équipe de France résolument offensive qui défiera ce soir l’Islande à Valenciennes. Techniquement fiable, c’est un XI marqué du sceau de la « génération 87 » qui se présentera ce soir sur la pelouse du Hainaut.
Une fois le premier tour passé, l’Espagne ferme la boutique et remporte le tournoi. En 2008 et en 2010, la Roja n’a pas encaissé un seul but en phase finale. Cette année, le forfait de Puyol oblige Del Bosque à repenser sa défense.
Après Miguel et Bosingwa, João Pereira perpétue la grande lignée d’arrières droits talentueux au sein de l’équipe portugaise. Mais qui est vraiment le nouveau coéquipier d’Adil Rami à Valence ?
Le sélectionneur hollandais, Bert van Marwijk, est confronté à un problème de riche : avec à sa disposition van Persie, Huntelaar, Robben, Sneijder, Kuyt, Afellay ou encore de Jong pour occuper les postes offensifs, il va devoir faire des choix et mettre sur le banc certaines stars.
Les forfaits d’Abidal et de Kaboul, ainsi que l’absence de Sakho, ont bouleversé l’organisation de la défense centrale des Bleus. Sa hiérarchie, surtout.
Programmée très tard, la finale de la Coupe du Roi opposera ce soir, au Vicente Calderon, les deux perdants de l’année en Espagne, l’Athletic Bilbao et le FC Barcelone. Aussi les deux plus beaux jeux du pays.
Cela pourrait être le titre d’un livre de Bret Easton Ellis un lendemain de cuite, mais ça reflète plutôt d’une Ligue 1 qui gravite vers le bas. Au matin de la dernière journée, huit équipes, qui se tiennent en 4 points, peuvent encore basculer vers les ténèbres.