À Manchester, on peut se coltiner deux derbys à la maison dans la même année. Un, sexy, contre Manchester City. Un autre, plus low cost, contre Wigan, patrie du rugby à XIII et victime préférée de United à la maison.
Cet après-midi, Málaga recevra Levante à la Rosaleda. Deux petits nouveaux en Europe, que tout opposait il y a quelques mois, et qui se retrouvent dans une situation similaire en ce début de saison…
Après un début d’année compliqué et deux défaites face à Lille (1-2) et Toulouse (2-1), les joueurs de l’AS Saint-Étienne redressent bien la barre. Septièmes de Ligue 1, les joueurs de Christophe Galtier espèrent profiter de leur bon recrutement pour enfin retrouver l’Europe. Une ambition qui passe par une amélioration du secteur défensif.
Sangsue du ventre mou espagnol, le Getafe CF s’est tout de même accaparé le titre de plus gros casse noix de la Liga. Son grand frère royal peut en témoigner, le Barça également. Le tout dans l’indifférence la plus totale.
La Qatar Stars League reprend ses droits ce weekend. Pour sa quarantième édition officielle, les équipes qataries ont mis une fois de plus la main au portefeuille, réussissant à attirer Raúl, Issiar Dia et Youssouf Hadji à coups de pétrodollars.
Une deuxième place, la meilleure attaque de Premier League et un jeu sexy chocolat. Cette année, les Swans, c’est encore plus craquant que Nathalie Portman en tutu. C’est une équipe qui a la dégaine d’un esthète du jeu : Michael Laudrup.
Contre Toulouse, le PSG va débuter une série de trois matchs en une semaine (Dynamo Kiev mardi, déplacement à Bastia samedi). Dès lors, Carlo Ancelotti va commencer à mettre en place un certain turnover.
Après la Belgique, les Pays-Bas, l’Écosse et la Suisse la semaine dernière, suite et fin du tour d’horizon de quelques championnats européens, dont la Russie, l’Ukraine, la Grèce et la Turquie.
Pendant qu’Usain Bolt déclarait sa flamme à Manchester United, son pays, la Jamaïque, tapait les États-Unis pour la première fois de son histoire, réalisant, par la même occasion, un parcours sans faute aux éliminatoires du Mondial.
Ce soir, au Stade de France (21h), les Bleus reçoivent le Belarus avec une double motivation : réussir une bonne opération comptable en prenant seuls la tête du groupe I en se payant une revanche sur une équipe contre laquelle ils n’avaient pris qu’un point sur six lors des éliminatoires du dernier Euro.