Ce soir, un peu après minuit, heure française, c’est la fin. La fin de tout. Heureusement, on a encore le temps de regarder un petit match, ce soir, peinard. Mais attention, il faut bien le choisir. Ce serait con que le dernier soit tout pourri.
En un peu plus d’un an, Diego Simeone a fait de l’Atlético Madrid un gros poisson en Espagne et en Europe. Solide second en Liga, l’Atlético devrait enfin retrouver la Ligue des champions la saison prochaine.
Le PSG va savoir aujourd’hui de quoi son destin européen sera fait. En terminant premiers de leur poule, les Franciliens ont évité toutes les saloperies du monde moderne comme Barcelone, Juventus, Borussia Dortmund ou Manchester United. Cela étant dit, les ouailles de Carlo Ancelotti peuvent quand même se coltiner du lourd.
Depuis deux semaines, Paris va mieux. Beaucoup mieux même. Une victoire face à Porto, deux démonstrations en Ligue 1 et un collectif qui semble enfin se mettre en place. Un renouveau tactique ou un simple changement d’attitude ?
Seul aux manettes de la Liga, le Barça peut dès ce dimanche tuer tout suspense en battant l’Atlético. De son côté, le Real s’avance sans aucune certitude face à l’Espanyol. Ou comment définitivement tirer un trait sur l’intérêt de ce championnat.
Lorient, Nancy et Châteauroux sont les seuls clubs professionnels français à avoir franchi le cap du terrain synthétique en compétition. Face aux nombreux avantages que présentent cette surface, pourquoi une telle levée de boucliers dans les autres clubs ? Éléments de réponse.
En 2009, José Mourinho avait dit de Cambiasso : « C’est le joueur le plus rapide que j’ai entraîné. Et quand je dis rapide, je parle de là où ça sert le plus… » C’est-à-dire dans la tête. Un footballeur intelligent, promis à un avenir d’entraîneur brillant, et encore indispensable dans l’Inter de Stramaccioni.
Ce soir, au Stadio Olimpico, la Lazio, quatrième, reçoit l’Inter, deuxième. Un match entre deux équipes dont les supporters sont jumelés, mais qui, pour le coup, n’a rien d’une rencontre où l’on va se faire des faveurs et des fleurs.
Anciennement adulé à Bilbao, Fernando Llorente est aujourd’hui devenu le pestiféré de l’effectif. Une situation ubuesque qui doit autant au jusqu’au-boutisme de Bielsa qu’à la tête dure du joueur.