Bravo à toi Paris, pour tes trois points au Vélodrome
Bravo à toi Paris, pour tes trois points au Vélodrome
Après une semaine passée dans le futur, nous revoilà dans le présent. Ce soir, Marseille reçoit le Paris Saint-Germain au Vélodrome pour y disputer un match que les Parisiens ont déjà gagné. Solide.
Ce soir, au Stadio olimpico, à la même heure que Juventus-Milan, la Lazio, sixième du classement, reçoit la Fiorentina, cinquième. Une rencontre entre deux équipes qui, finalement, se ressemblent plus que ce que l’on pourrait y croire.
S’il a perdu de sa saveur par rapport aux années 1990, le grand match entre l’Olympique de Marseille et le Paris Saint-Germain peut compter sur quelques héritiers d’Éric Di Meco et de Bernard Casoni pour rester intense. Toujours motivé, toujours impliqué, le Ghanéen André Ayew incarne la grinta qui peut permettre aux Phocéens de mettre à mal des Parisiens intrinsèquement supérieurs ce dimanche au Vélodrome.
Pendant des années, le PSG et l’OM se sont détestés. Mais cette réalité ne devait pas en cacher une autre : les deux clubs se détestaient parce qu’ils partageaient beaucoup de choses. Maintenant que le PSG a été remplacé par un nouveau club, cette réalité perd un peu en intensité…
Depuis qu’il a rangé ses crampons la saison dernière, Michaël Isabey ne chôme pas. Entre la validation de son diplôme d’entraîneur et sa formation en gestion des organisations sportives, l’ancien Sochalien n’a pas eu le temps de se retourner sur ses 400 matchs de Ligue 1. Actuellement au chevet de son club formateur de Besançon, il livre ses pronos pour la 9e journée.
Pourquoi Chicharito se contente d’être remplaçant ?
Pourquoi Chicharito se contente d’être remplaçant ?
Une première saison pour apprendre, une deuxième pour confirmer, une troisième pour bien faire le boulot et une quatrième à regarder les siens couler depuis le banc. Depuis son arrivée à United, Javier Hernández a toujours été considéré comme un joker. Jusqu’à quand ?
Depuis le début de saison, on a beaucoup parlé d’Ibrahimović, de Cavani et de tout ce qui touche de près ou de loin aux joueurs offensifs du PSG. Ce que l’on oublie un peu trop souvent, c’est que les véritables patrons de l’escouade de Laurent Blanc jouent juste derrière, au milieu. Et aucun d’entre eux n’a vocation à défendre.
Plus menaçant que le calendrier maya, le « calendrier Baup » est sans appel : pour une équipe de foot, l’an II sous Élie serait une condamnation à mort. Un constat basé sur deux échecs à Saint-Étienne puis à Toulouse qui ne doit pas pour autant donner des sueurs froides aux Phocéens. Explications.
Première victoire ajacide en C1 ce soir à l’Arena. Le Milan pliera parce que c’est dans l’ordre cosmique des choses et dans l’ordonnancement des planètes. Les dieux du foot s’arrangeront sur le score.