Cette année, entre clubs qualifiés au terme du premier tour, et équipes reversées en C3 après leur élimination en C1, on retrouve quatre écuries italiennes en seizièmes de finale. Et non des moindres. L’occasion, enfin, de renouer avec un triomphe sur la scène européenne ?
Le cinquième du championnat ukrainien sera l’adversaire de Lyon en Europa League. Une équipe et des joueurs inconnus qui ne devraient pas poser de problèmes au club francais, si l’on juge le groupe amené par Rémi Garde en Ukraine. Mais attention, car le Tchernomorets Odessa n’est pas arrivé en 16e de finale complètement par hasard.
Ligue des champions – 8e de finale aller – Arsenal/Bayern Munich
Comment Arsenal peut éviter la raclée ?
Comment Arsenal peut éviter la raclée ?
Arsenal, c’est assez costaud. Le Bayern Munich ? C’est beaucoup trop fort. Tout sauf favoris au moment de recevoir le big boss de la compétition à l’Emirates, les Gunners ont bien besoin de quelques solutions pour sortir vainqueurs de cette rencontre. En voici quelques-unes.
Les Qataris ne le cachent pas : ils sont à Paris pour gagner un jour (et pourquoi pas dès cette saison ?) la Ligue des champions. Une ambition et des moyens qui peuvent faire peur. Petit tour d’Europe pour savoir si ce PSG est déjà considéré comme l’égal des ténors continentaux.
Ligue des Champions – 8e de finale – Manchester/Barcelone
Billet
Nasri, qui rira le dernier ?
Nasri, qui rira le dernier ?
Un sale gosse surcoté qui n’a rien à faire en Bleu. Un milieu de terrain important dont on est heureux qu’il puisse revenir seulement un mois après s’être fait sécher par Yanga-Mbiwa. Il y a deux Nasri, le Français et l’Anglais. Pas toujours au top outre-Manche, le Marseillais réalise une bonne saison avec Manchester City. L’occasion de fermer quelques bouches. Poliment, cette fois.
Ce soir, le PSG retrouvera une vieille connaissance. Emir Spahić, ancien distributeur automatique de baffes et de coups de latte sous les couleurs montpelliéraines, s’avance avec Leverkusen pour tenter de contrecarrer les ambitions de Zlatan and co. Sans finesse ni état d’âme.
L’histoire avait tout pour être belle. Jean-Louis Garcia est laissé au chômage après la saison 93-94. Mais huit mois après, il est de retour, titulaire pour son premier match européen, en quart de finale de C3 à Leverkusen. À la fin du match, c’est une rouste : 5-1.
Avec un jeu de nouveau en conformité avec ses prétentions, le Barça se redécouvre des problèmes. De riches, cette fois. Messi, intouchable et de retour en forme, est le seul joueur offensif dont la titularisation est garantie. Reste à savoir qui de Pedro, Alexis, Neymar ou Iniesta l’accompagnera.
Avec huit buts en cinq matchs de Ligue des champions cette saison, le Suédois devrait faire peur à tout le monde. Sauf que le numéro 10 du PSG s’est forgé une sale réputation : quand les matchs comptent, le type ne marque plus. Une sale habitude à laquelle il doit tordre le cou.