Quelques jours après la fin du Mondial 1994 aux États-Unis, Tony Meola, le gardien titulaire de la Team USA, avait tenté de se mettre à l’autre football avec les New-York Jets. Mais une légende à la moustache bien dessinée avait eu raison de lui.
Alors qu’il construit un projet ambitieux, Tata Martino est déjà sous le feu des critiques. En finale face au Chili, l’ancien entraîneur du Barça semble avoir laissé de côté sa philosophie pour un plan plus pragmatique.
Un nouvel artiste qui quitte l’Europe pendant que Capoue se paie un record, un lundi « comme un lundi » avec peu de mouvements et de rumeurs. Zut : Van Wolfswinkel ne sera plus en Ligue 1 l’an prochain…
Attendez ! La Copa América revient (peut-être) l’an prochain
Attendez ! La Copa América revient (peut-être) l’an prochain
Les confédérations sud-américaines et nord-américaines de football avaient en effet décidé d’organiser une Copa América du centenaire dès l’an prochain aux… États-Unis.
C’est officiel : Andrea Pirlo jouera la saison prochaine en MLS, à New York City. Une perte pour la Juventus et le football italien, forcément, mais Andrea a eu le courage de partir avant de devenir un poids. Ciao, grande maestro.
La victoire inédite et logique du Chili, l’indigence du Brésil, un Messi bipolaire, ou le grand retour du numéro 10. Ce sont quelques-unes des leçons tirées après trois semaines exhaltantes de Copa América.
On a fêté la première Copa América de l’histoire du Chili
On a fêté la première Copa América de l’histoire du Chili
Nuit de folie à Santiago. Après un siècle de disette, le pays a enfin remporté la Copa América. Un motif de fierté énorme, après tant de triomphes moraux. Et l’occasion de descendre dans la rue, pour crier sa joie et s’enivrer.
Il y avait un Stanley Matthews footballeur, premier Ballon d’or de l’histoire et réputé pour son exceptionnelle longévité de vie de joueur. Et puis il y avait un Stanley Matthews tennisman : le rejeton du premier, qui a eu du mal à supporter l’aura paternelle, mais qui a tout de même connu quelques jolis moments de gloire sur le circuit pro. À l’occasion de la quinzaine de Wimbledon, retour sur la carrière de ce « fils de ».
Charles Corver : «S’il y a la télévision en 82, je prends la bonne décision»
Charles Corver : «S’il y a la télévision en 82, je prends la bonne décision»
Un soir de 1982, à Séville, Charles Corver garde les yeux rivés sur le ballon au moment où Schumacher dégomme Battiston… Plus de 30 ans après les faits, l’arbitre néerlandais a déjà fait son mea culpa à plusieurs reprises.