


La Copa Libertadores, qui vient de boucler sa deuxième journée de phase de poules, n’envoie peut-être pas autant de jeu que la Ligue des champions, mais a le mérite d’avoir toujours de sacrés bonnes histoires à raconter. Bienvenue dans un monde non aseptisé, où Bernardi, Guiza et Trezeguet rugissent encore.






Il s’agit peut-être du moment le plus décisif de l’histoire du football argentin. Le 24 février 1983, Carlos « El Narigon » Bilardo est nommé à la tête de l’Albiceleste. Il l’emmènera deux fois en finale du Mondial et reste encore aujourd’hui influent en son sein.

