
- Coupe du monde 2014
- 8es de finale
- Argentine/Suisse
Hitzfeld : « Pas mon dernier match »


Au lendemain de la qualif’ douloureuse du Brésil contre le Chili, Heinrich émerge tout aussi douloureusement dans une favela de Recife, où il « couchsurfe ». Petits yeux, il affiche la mine du type bien cramé « mais, ces derniers jours, pas vraiment à cause du vélo. On fait la fête pratiquement tous les soirs. Heureusement qu’on a fait des économies avant parce qu’on est en train d’exploser notre budget… »



Pour la première fois disposé à Paris, l’écran géant de la place de l’hôtel de ville a attiré une véritable marée humaine. Ils sont des milliers à être venus, à avoir stressé, prié, critiqué pour finalement s’embraser et fêter la victoire de l’équipe de France.

Jusqu’ici, les Bleus ont tout pour eux. Comme un Jérôme Alonzo en état de grâce qui volleye tout ce qui bouge. Expulsions ou non dans le bon sens, un but nigérian refusé pour quelques millimètres de hors-jeu, des Équatoriens maladroits, un seul joueur – Mamad – sur le flanc, les politiques qui s’énervent sur l’Algérie et aucun csc de Koscielny. Bref : la ba-ra-ka. Mais pourquoi ?



Comme en Allemagne, la France est en quarts de finale. Mais contrairement à la leçon d’espagnol donnée par la bande à Zidane en 2006, les Bleus ont eu du mal à lancer la machine contre les Super Eagles.
