À la ramasse en championnat depuis plusieurs semaines, les Girondins de Bordeaux ont l’occasion d’égayer un peu leur fin de saison avec ce déplacement. Mais attention, Benfica reste quand même un client au niveau européen.
Le match auquel aurait pu et dû participer Lyon à deux minutes près. Tant pis pour l’OL, l’affiche de ces huitièmes de la Ligue Europa est bien ce Tottenham – Inter Milan.
Premier huitième d’Europa League, et un match à oublier. L’Anzhi et Newcastle se sont livrés un duel sans relief ni saveur, en ce début de soirée à Moscou. Au terme de l’ennui, un ennui dominé par les Russes cela dit, les deux équipes se séparent sur un pauvre 0-0.
A moins d’un miracle la semaine prochaine à l’Allianz Arena (match retour Bayern-Arsenal), il n’y aura aucun club anglais en quarts de finale de la Ligue des Champions. Et si c’était un peu plus qu’une coïncidence ?
Après la rumeur Domenech, on annonce désormais Diego Maradona sur le banc de Montpellier pour la saison prochaine. D’accord. Mais si l’affaire capote, qui Loulou va-t-il nous sortir de son chapeau ?
Seul représentant français encore en lice en Europa League, Bordeaux poursuit son incroyable aventure ce soir (21h05) à Lisbonne. Un parcours qui le mène dans l’antre du Benfica, pour un 8e placé sous le signe du plaisir. Ou presque…
Il y a un peu plus de deux ans, Tottenham rencontrait déjà l’Inter Milan et Gareth Bale faisait danser Maicon à San Siro et à White Hart Lane. Ça valait bien un petit retour en arrière.
L’élimination du club de Mestalla actée, Valence ne doit son salut européen qu’aux banlieusards de Levante. Toujours en course en Europa League, ils seront emmenés par leur capitaine Ballesteros. Pas vraiment un poète, le garçon est une brute. Mais pas que.
Une qualification historique et un président qui parle la langue des supporters de son club. Voilà ce qu’on va retenir de la soirée d’un PSG qu’on ne sait pas encore trop placer sur la carte de l’Europe.
Depuis trois ans, c’est toujours la même histoire. La Lazio commence sa saison très fort, n’achète personne au mercato hivernal, subit des blessures, puis cale petit à petit. Sans jamais apprendre des erreurs du passé.
Après deux à trois mois de trêve selon les pays, c’est l’heure de la reprise en Europe de l’Est. De la Russie à la Pologne en passant par l’Ukraine, les Balkans ou encore l’Autriche, tour d’horizon des clubs à suivre et des enjeux de fin de saison.
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En fait, il y avait la place pour Valence. Mais en face, il y avait aussi Blaise Matuidi, qui confirme qu’il est bien le seul joueur constant de ce Paris SG. Et il aura l’occasion de le prouver plus encore au prochain tour, pour les quarts de la C1.
Déjà virtuellement qualifiée après le 3-0 du match aller, la Juventus a réalisé un match sérieux et s’impose 2-0 face au pauvre Celtic. Les Écossais ont eu quelques occasions, mais les Turinois étaient décidément trop forts pour eux.
Beaucoup trop frileux, les joueurs du PSG ont, a défaut d’être convaincants, eu le mérite de répondre de manière quasiment immédiate à l’ouverture du score espagnole (1-1). Les hommes d’Ancelotti rejoignent les quarts de la C1. Et c’est déjà pas mal.
Comment préparer un match de Ligue des champions quand on est déjà qualifiés ou presque ? C’est toute la question qui se pose à une Juve large vainqueur du Celtic au match aller (3-0). Après, on a toujours le droit de croire aux miracles.
Ce soir, on va voir si cette équipe du PSG est vraiment bâtie pour la Ligue des champions. On oublie Reims, les propos de Leonardo et le reste et on se concentre sur ce huitième de finale retour. Vainqueur 2-1 à l’aller, Paris dispose d’une petite marge.
« On a besoin d’un public plus optimiste, d’un public de Ligue des Champions » affirmait la semaine dernière Leonardo. Alors que Valence se pointe pour un match décisif, quelle est vraiment, au-delà des controverses et des fantasmes, l’ambiance du Parc ? Revue de tribunes avec ceux qui peuplent les nouveaux virages Auteuil et Boulogne.
Valence 2000 n’est pas une station de ski, mais n’en demeure pas moins un grand distributeur de sensations fortes. Équipe frisson du début de siècle avec le Leeds de Harte et Viduka, le Valence des Kily Gonzalez, Mendieta, Lopez et Ayala a fait trembler l’Europe entre 1998 et 2004. Retour sur une équipe que personne n’oubliera.
À l’heure où le Celtic jouera son 8e retour contre la Juve après un parcours magnifique mais en trompe-l’œil pour un foot écossais, les ennemis Rangers relancent une revendication commune du Old Firm : intégrer la Premier League anglaise. Ballottage défavorable…
Le bûcheron brésilien est arrivé de Chelsea en janvier 2012. On ne savait pas trop à quoi s’attendre avec Alex Rodrigo Dias da Costa. Un an après, on sait. L’ancien joueur du PSV Eindhoven a confirmé son statut de joueur physique mais fragile. Paradoxal.
Contraint à l’exploit, Valence s’attaque à la montagne parisienne sans sa défense habituelle. Rami et Costa out, Jérémy Mathieu a toutes les chances du monde d’être titulaire dans l’axe ce mercredi au Parc des Princes. Un cadeau empoisonné ?
Meilleur buteur du Mondial 1978 et idole suprême de Valence, Mario Kempes est désormais commentateur pour ESPN. Impressionné par le PSG à l’aller, El Matador voit mal les Ché repartir du Parc avec un billet pour les quarts.
Ce soir, la Juventus reçoit le Celtic, en huitièmes de finale retour de la Ligue des Champions. Même si le stade va être plein, personne n’est dupe : après sa victoire 3-0 en Écosse, la Juve est déjà qualifiée. Risque de déconcentration ?
Lubomír Moravčík est une légende verte. Une légende de l’ASSE, mais aussi du Celtic, un club où le fin technicien slovaque s’est payé quatre saisons extraordinaires. Interview.
Si la première mi-temps a laissé les comblés de l’aller sur leur faim, tout est ensuite rentré dans l’ordre : des buts, du coaching qui a de la gueule, de la polémique avec le carton rouge direct de Nani et l’entrée de Modrić.
Difficile a digérer. Totalement dominateurs pendant l’heure disputée à 11 contre 11, les Mancuniens, qui menaient 1 à 0 jusqu’à l’exclusion de Nani, s’inclinent 1 à 2 et quittent la Ligue des Champions. Impuissants face au bloc anglais, les joueurs du Real Madrid peuvent remercier monsieur Cakir, l’arbitre de la rencontre.
Dominateur sans aucun souci du Shakhtar Donetsk (3-0), le Borussia Dortmund s’est qualifié pour les quarts de finale de la Ligue des Champions. Santana, Götze et Blaszczykowski sont les buteurs de la soirée.
D’accord, la concurrence est rude et frontale avec le Manchester – Madrid. Mais l’autre affiche de la soirée a quelques atouts. Comme deux équipes joueuses, un match aller qui n’a pas déçu (2-2) et du suspens en perspective.
Il n’y a pas à dire, ce huitième a une gueule de finale. Tenu en échec 1-1 sur sa pelouse, le Real se rend à Manchester avec quelques certitudes. Les Madrilènes viennent de taper deux fois le Barça et peuvent compter sur un ancien de la maison MU : Cristiano Ronaldo.
Quatre Ligue des champions à eux deux, du respect, de la gouaille et une certaine manière de coacher. Ce Manchester United – Real Madrid est avant tout un combat loyal entre deux entraîneurs exceptionnels.