Auteur d’une prestation fantomatique, Gonzalo Higuaín n’a pas su mettre le Real Madrid dans les meilleures dispositions. Les Merengues ont d’ailleurs attendu l’entrée de Karim Benzema pour mettre la machine en route. Auteur d’un but et d’une passe décisive, Rim-K a permis aux siens de faire vivre une folle fin de soirée à un triste public madrilène.
Le Real l’emporte 2-0. Mais il a manqué quelques minutes, quelques gouttes de sueur ou quelques millimètres en plus. Dortmund essuie sa première défaite dans la compétition mais se qualifie pour la finale. Madrid sort la tête bien haute. L’honneur est sauf.
Marquer trois buts de plus que le Borussia Dortmund ou mourir. Le défi qui se présente au Real Madrid est à la hauteur des talents sur le papier – Ronaldo, Özil, Benzema, Xabi Alonso, Sergio Ramos – et surtout de l’entraîneur sur le banc : José Mourinho. Mais arriveront-ils vraiment à être plus qu’une somme d’individualités ?
Santillana : «Le public du Bernabéu peut aussi marquer un but»
Santillana : «Le public du Bernabéu peut aussi marquer un but»
643 matchs, 290 buts et une montagne de titres. Carlos Santillana est ce que l’on appelle une légende au Real Madrid. Et un spécialiste des remontadas. C’est donc en connaisseur qu’il se projette sur la rencontre Real-Borussia.
Real Madrid : quelle tactique pour enfin dominer le Borussia ?
Real Madrid : quelle tactique pour enfin dominer le Borussia ?
Les faits sont là : le Borussia Dortmund est la seule équipe invaincue de cette Ligue des champions, a vaincu le Real Madrid à deux reprises en quelques mois et arrive au Bernabéu avec un rassurant 4-1 dans les valises. Alors, le Real Madrid peut-il parvenir à se réinventer ?
L’été, l’amour, la vie, la bouffe, les soirées, le boulot, la famille, etc. Tout ça, c’est bien joli, ça occupe. Mais en vrai, la seule chose qui t’intéresse, ce sont les demi-finales retour de la Ligue des champions. Parce qu’au-dessus de tout, il y a le football.
Arrigo Sacchi : «Tactiquement, les Anglais sont encore très en retard»
Arrigo Sacchi : «Tactiquement, les Anglais sont encore très en retard»
Seconde partie de l’entretien avec le numéro un de notre top 100 : Arrigo Sacchi. Cette fois, le Mister cause valeurs, Juventus, Premier League, Bayern et Borussia, Real, finale de Coupe du monde et séance de pénaltys…
Le Real doit renverser le Borussia Dortmund pour réaliser le rêve de Florentino Pérez : remporter la Decima juste avant les élections. Alors à Santiago Bernabeu, au matin de la folle journée, la mystique se met en marche. C’est l’heure du monologue du héros.
A 13 comme à 31 ans, Xabi Alonso est toujours resté le patron. Un rôle sur mesure qu’il doit à une droiture toute basque, une éducation « normale », dixit un proche de la famille, et un apprentissage sur la plage et sous la pluie. Portrait d’un homme mûr et qui compte le rester ce soir face au Borussia.
1er avril 1998. Demi-finale aller de Ligue des Champions. Le Real reçoit Dortmund dans son antre de Bernabeu. La confrontation va avoir lieu quand soudain, à 20h44, un des buts se casse la gueule. Commence alors une soirée bien cocasse, notamment pour deux journalistes allemands…
En 2006, Robert Lewandowski est mis à l’écart de la réserve du Legia Varsovie. L’été venu, il ne trouve un nouveau club que grâce aux relations de sa mère. Le 24 avril 2013, il inscrit un quadruplé contre le Real. Drôle de parcours pour un sacré joueur.
Monaco devra remettre les masques et les cotillons à plus tard. Alors qu’ils avaient l’occasion de fêter officiellement leur remontée face à Sedan ce lundi soir, en clôture de la 34e journée de L2, les Monégasques n’ont su faire mieux qu’un match nul (1-1).
Deux rouges et demi hier soir à Annecy, une avant-dernière place au classement du fair-play, le PSG a été pointé du doigt suite aux débordements d’après-match. On parle de manque d’humilité et d’irrespect. Mais le PSG a-t-il une réelle obligation d’exemplarité ?
Nogueira rime avec baraka. Avec Elana, aussi. Auteur d’un doublé chanceux mais salvateur ce vendredi, le milieu de terrain sochalien a permis à son équipe de toujours d’accrocher un match nul inespéré face à Lille. Avec deux coups francs, une glissade et surtout, un point pour l’espoir en vue du maintien, le milieu de terrain a passé un bon week-end.
Arrigo Sacchi : «Le collectif est meilleur que l’individu»
Arrigo Sacchi : «Le collectif est meilleur que l’individu»
Il fallait bien un premier à ce top coach ; il fallait bien que ce soit Sacchi. Parce que le Mister, le vrai, c’est lui. Son titre de meilleur coach de tous les temps selon sofoot.com, son Milan, sa retraite, son métier, son évolution, son successeur : voici la première partie d’un entretien total football avec Arrigo « Magic » Sacchi.
Étienne Didot est, à 29 ans, un taulier de notre bonne vieille Ligue 1. Entre une saison décevante de la part du TFC et un match nul (0-0) ramené de Bastia, le natif de Paimpol évoque la 34e journée de championnat.
Cette semaine sur Twitter, on a laissé pousser ses cheveux, oublié Arsenal et révisé sa géographie. On a aussi laminé les Espagnols, embrouillé Bourillon, pensé à Guardiola et moqué le mariage pour tous. Les temps changent, pas les footballeurs.
Hier après-midi, Javier Zanetti est sorti sur civière, lors du match entre Palerme et l’Inter Milan. La sanction est cruelle : rupture du tendon d’Achille. À 39 ans, et avec près de 8 mois de rééducation, c’est quasiment une fin de carrière pour le capitaine nerazzurro. Non, on ne veut pas y croire.
Match de la peur pour l’Ajax à Breda, samedi soir, qui s’est heureusement fini par une victoire 2-0 qui ne sépare plus le club d’Amsterdam du titre que de trois petits points. Et à la fin, c’est toujours l’Ajax qui gagne ? Faut croire…
France – Ligue 1 – Ce qu'il faut retenir de la 34e journée
Paris-Marseille, les nerfs à vif
Paris-Marseille, les nerfs à vif
Paris et Marseille qui confortent leur place dans des contextes à haute tension, Nice qui réalise la bonne affaire, des débutants en réussite et deux strapontins pour la L2 déjà occupés : tout ce qu’il faut retenir de la 34e journée de Ligue 1 est là.
Un week-end de derbys : le Real remporte celui de Madrid, la Juve celui de Turin, tandis que Lyon et Sainté se quittent (presque) bons amis avec un nul 1-1. Sinon, l’OM gagne encore 1-0, Sagna fait n’importe quoi, le Bayern gagne même sans ses titulaires et le Barça doit reporter la fête pour le titre.
Un week-end de derbys : le Real remporte celui de Madrid, la Juve celui de Turin, tandis que Lyon et Sainté se quittent (presque) bons amis avec un nul 1-1. Sinon, l’OM gagne encore 1-0, Sagna fait n’importe quoi, le Bayern gagne même sans ses titulaires et le Barça doit reporter la fête pour le titre.
Le PSG a pris sa revanche. Dix jours après avoir été éliminés en Coupe à Annecy, les Parisiens se sont cette fois-ci imposés en championnat (0-1). Un pas de plus vers le titre. Mais que ce fut laborieux…
71 ans et le plus beau palmarès du football mondial sur un banc de touche. L’Écossais à l’accent le plus incompréhensible du monde reste un entraîneur à part. Le plus grand en club, et de loin. Un magicien sur qui le temps n’a aucune incidence, sauf peut-être celle de le rendre encore meilleur. Entre ailier virevoltant, Ballon d’or et Ligue des champions, l’ADN de Fergie est la chose la plus précieuse d’Angleterre.
Comme à son habitude, Van Persie a marqué à l’Emirates. Sauf que c’était cette fois-ci avec le maillot de Manchester United, dans une équipe qui sait se surpasser quand il le faut.
Après un match disputé, la Juve remporte le derby de Turin (2-0) et n’est plus qu’à un petit point du Scudetto. La Fiorentina ravit provisoirement la troisième place au Milan AC, tandis que la Roma revient à la cinquième place.
Ce soir, le Milan AC reçoit Catane à San Siro. Les Rossoneri, en feu au début de l’année 2013, n’ont plus gagné depuis le 30 mars. Du coup, la Fiorentina est revenue à un point. Allegri a tout intérêt à repartir de l’avant, car l’ombre de Spalletti plane…
Une mi-temps partout, le bonheur nulle part. Auteurs d’un match plaisant, Lyonnais et Stéphanois se quittent dos à dos 1 à 1 sur la pelouse de Gerland, et concèdent un peu plus de terrain à l’Olympique de Marseille, vainqueur à Lorient hier (0-1). Malgré une belle deuxième mi-temps, les Rhodaniens peuvent remercier Pierre-Emerick Aubameyang, peu inspiré cet après-midi.
Le derby le plus chaud de Ligue 1 va prendre encore quelques degrés cet après-midi. Entre Lyon et Saint-Étienne, il s’agit presque d’une petite finale pour cette troisième place qualificative pour le tour préliminaire de la Ligue des champions la saison prochaine.
En matière de foot, la France a aujourd’hui bien besoin de ré-enchanter son amour du ballon rond. Quitte à prendre quelques libertés avec la réalité des faits et à balancer de la poudre aux yeux. Voici d’ailleurs que tombe à pic un nouveau protagoniste : le club « ouvrier », incarné cette saison par l’ASSE. La nostalgie reste vraiment une drogue envahissante chez nous.