Malgré une entame de match difficile, Lille a réussi à s’imposer à domicile devant Bastia dans un match de bonne qualité (2-1). Salomon Kalou, intenable et auteur d’un doublé, a mis fin à une disette de huit matchs en championnat et a enterré les espoirs corses à lui tout seul.
En attendant le match du soir entre le Napoli et l’Inter, la Fiorentina s’empare de la quatrième place, grâce à sa victoire 3-0 face à Bologne. De retour après une longue blessure, Miroslav Klose a offert une victoire très importante à la Lazio face à Livourne (2-0, doublé). Le Toro s’impose 2-0 à Udine.
94′ : Vous avez peut-être passé un dimanche de merde, mais dîtes-vous qu’il était de toute façon meilleur que celui d’Hugo Lloris. Allez vous restaurer, et revenez-nous en forme pour ce soir.
Après deux défaites consécutives, Manchester United s’impose facilement sur la pelouse d’une très moyenne équipe d’Aston Villa (0-3). Grâce à un doublé de Welbeck en début de match, les Red Devils ont plié le match avant de gérer tranquillement la rencontre.
En venant à bout de Valenciennes sur leur pelouse (2-1) dimanche après-midi, au terme d’un match à rebondissements, les Girondins ont signé leur quatrième victoire de rang en championnat. D’abord dominateurs mais maladroits, ils ont réussi leur match en seconde période. Quand Valenciennes croyait avoir fait le plus dur…
Antonetti : pourquoi les Marseillais sont moyen chauds ?
Antonetti : pourquoi les Marseillais sont moyen chauds ?
Élie Baup débarqué, l’OM se cherche, à l’heure d’affronter l’OL, un nouveau chef. Régulièrement cité pour prendre les rênes du club, Frédéric Antonetti pourrait se retrouver pour la première fois de sa carrière à la tête d’une grosse écurie. Un choix qui n’apparaît pas comme une évidence.
Fin de championnat complètement folle au pays de l’asado : deux matchs, et quatre prétendants au titre de champion ce soir. Tout se jouera à Buenos Aires entre Vélez et San Lorenzo et à Rosario entre Newell’s et Lanús. Avant une éventuelle finale la semaine prochaine. Quatre équipes aux trajectoires et aux caractéristiques bien différentes. Présentation.
Ce soir, c’est retour vers le passé pour Walter Mazzarri. Le coach de l’Inter se déplace au San Paolo, pour y affronter un Napoli qu’il a coaché lors des quatre dernières saisons. L’occasion de faire le point sur sa première moitié de saison avec l’Inter.
S’il y a bien une équipe qui galère depuis le début de la saison en Italie, c’est la Lazio. L’équipe romaine est l’ombre de l’équipe admirée lors des trois dernières saisons, et l’entraîneur, Petković, est sur la sellette. Une défaite face à Livourne, grand rival politique des Laziali, et ce serait carrément le chaos.
En attendant Schalke-Fribourg et Leverkusen-Francfort, on a vu le Bayern faire comme tous les week-ends et être prêt à conquérir le monde, Dortmund et Gladbach ne pas faire mieux qu’un nul et Nuremberg craquer et faire 3-3. Et puis des stades pleins, des buts, des gestes fous. Comme d’hab quoi.
Devenu titulaire indiscutable de l’Atlético de Madrid, Tiago est le nouveau Benjamin Button du ballon rond. Régulateur du milieu de terrain de l’Atlético, meneur d’hommes dans le vestiaire, il éblouit aujourd’hui le Vicente Calderón. La classe a donc un âge, 32 ans, et un nom, Tiago.
Stade minuscule, ville minuscule, budget réduit et même microclimat. Le FC Arouca est petit. Tout petit. Même au Portugal. Mais le promu rêve de grandir et de maintien. Il est même allé chercher un match nul chez le grand Benfica la semaine dernière.
Vainqueur du choc de cette journée de Liga face à Villarreal (2-1), le Barça fait plus que se relancer en Liga. Avec un Neymar en feu, et auteur d’un doublé, les Blaugrana ont rassuré leur monde. Et mettent la pression sur l’Atlético, seule équipe susceptible de suivre leur rythme infernal.
Cinq matchs, 11 buts, on ne s’est pas embêté ce soir sur les pelouses de l’Hexagone. D’Étienne Didot buteur au retour avorté de Pierre-Alain Frau. De Monaco qui fait le boulot à Toulouse qui étonne, la Ligue 1 a encore réservé son lot de surprises.
93′ : C’est terminé à Guingamp! Rapidement devant au score et en supériorité numérique, Monaco quittera la Bretagne avec trois points de plus dans la besace. Les hommes de Ranieri ne laissent pas le PSG s’échapper.
Tranquilles comme jamais face à des Rennais impuissants offensivement, les Parisiens s’imposent 3 à 1 en terre bretonne et atteignent la fameuse barre des 43 points : celle du maintien.
Difficile de faire mieux que le match de tennis entre City et Arsenal. Néanmoins, Chelsea a trouvé le temps de faire le boulot face à Crystal Palace, tandis qu’Everton s’infiltre dans le top 5. Newcastle, de son côté, a loupé le coche face à Southampton.
93′ : C’est fini ! Paris s’impose logiquement face au Stade Rennais (1-3). Sans jamais donner l’impression de s’employer, le PSG a fait preuve de réalisme pour battre des Rennais inoffensifs.
Face à Hambourg, les Bavarois ont fait le travail en s’imposant 3-1. Sans être jamais inquiétés et en accélérant aux moments adéquats. Tout le contraire d’un BVB complètement à réaction, qui a attendu d’être mené 2-0 par Hoffenheim pour se réveiller. Les joueurs de Klopp repartent avec le point du nul, mais aurait pu espérer beaucoup mieux.
Cinq pions de mieux que le tarif maison. Désormais auteurs de 49 buts en 12 matchs disputés à domicile, les joueurs de Manchester City ont fait exploser les Gunners. Auteurs d’une belle partie, les joueurs de Pellegrini ont prouvé qu’il faudra compter sur eux dans la lutte pour le titre. Côté Arsenal, rien de bien grave, mais il faudra rebondir la semaine prochaine… face à Chelsea.
96′ : C’est fini ! Le match de tennis s’arrête donc là. City s’impose 6-3 au terme d’un set rondement mené. Arsenal a passé une sale semaine mais quel spectacle ! Le championnat n’était pas joué, il est revanche complètement relancé. Capito ? A plus les zozos.
Écarté depuis six journées de championnat des buts de Manchester City, au profit de Costel Pantilimon, Joe Hart n’a pourtant aucune raison de se faire du mouron quant à sa participation à la Coupe du monde. Ce qui n’est pas le cas de tous les internationaux en difficulté à six mois du grand raout brésilien.
Brillant pour certains, un intermittent du spectacle pour d’autres. Passé notamment par le PSG et Sunderland, Stéphane Sessègnon ne laisse indifférent personne. Évoluant aujourd’hui au sein de la modeste formation de West Bromwich, le Béninois aux jambes de feu continue de s’illustrer entre fulgurances et trous d’air.
L’ex-Lyonnais César Delgado va disputer son troisième Mondial des clubs de rang avec les Rayados Monterrey, représentant de la zone CONCACAF. Malgré les derniers mois turbulents vécus par son club, il croit aux chances des siens de rallier la finale.
Le match PSG-LOSC s’annonce particulièrement chaud : même s’il se déroule le 22 décembre, un choc du haut de tableau avant la trêve laisse toujours présager de bonnes surprises. Pour toi, il s’annonce encore plus intense. Car tu vas venir le voir au Parc des Princes. Mieux, tu vas descendre sur la pelouse pour participer à une séance de tirs au but à la mi-temps… Mode d’emploi pour que ce postulat devienne réalité.
Le capitaine du PSG est parfois décrit comme le meilleur défenseur central du monde. Un titre un brin pompeux et surtout inutile. Une chose est certaine, le Brésilien est un crack à visage humain. Et c’est mieux comme ça
Homme du cru, Pascal Dupraz est la figure tutélaire d’Évian Thonon Gaillard depuis plus de dix ans. Entraîneur, puis directeur sportif, il est de nouveau entraîneur depuis septembre 2012. L’homme agace parfois. Sa com’, ses déclas fracassantes en font un client parfait pour les journalistes. Où est la part de sincérité, de préparation, d’improvisation dans le verbe du Haut-Savoyard ? On a tenté d’y voir plus clair.
Invité surprise dans le haut du panier de Premier League, Southampton récolte enfin les fruits de la politique de formation instaurée après le rachat du milliardaire suisse Markus Liebherr, en 2009. Les Saints abreuvent l’Angleterre de talents. Illustration en dix preuves, où vieilles gloires trônent aux côtés de futures stars.
Dominés par une équipe stéphanoise pourtant introvertie, les Montpellierains ont longtemps préservé l’essentiel à domicile, avant de craquer à un quart d’heure du coup de sifflet final (0-1). Cette nouvelle défaite, au terme d’une purge mémorable, prouve que Rolland Courbis n’est pas magicien.
Ce vendredi soir, comme d’habitude, on avait rendez-vous avec la Ligue 2. Et comme d’habitude, on ne s’est pas ennuyé. 8 rencontres, 16 équipes, une Madjer, une Thierry Henry, un leader malmené, un schéma de jeu à deux défenseurs : soyez sérieux, mettez-vous à la Ligue 2.