Dans la cour de récré, à la maison, dans un jardin, sur le bitume ou sur la pelouse, le petit pont est et restera l’ennemi numéro un du footballeur. Une humiliation détestée par les uns et chéries par ses apôtres que sont Juan Roman Riquelme ou Ronaldinho. Spécialiste du genre, Sergio Busquets a frappé ce week-end lors du derby face à l’Espanyol. L’occasion de compiler quelques pépites.
Hier soir, le Bayern, en s’imposant tranquillement contre le Hertha, a été sacré champion d’Allemagne après seulement 27 journées. Un record en Bundesliga. Mais les Bavarois ne sont pas les seuls à avoir, ces dernières années, rapidement tué le suspense.
Une millième sur un banc de touche pour l’éternité. Un 6-0 gravé dans la mémoire collective à jamais. Le week-end dernier, Arsène Wenger, terrassé par l’ouragan Chelsea, a été humilié au lieu d’être fêté. Mais que l’emblématique entraîneur d’Arsenal se rassure : il est loin d’être le seul à avoir vu ses propres festivités tourner au vinaigre. Les rois de la fête sont morts, vive les rois !
Jeudi soir, Andrea Pirlo a qualifié la Juventus pour les quarts de finale de l’Europa League grâce à un magnifique coup franc sur la pelouse de la Fiorentina. Déjà buteur décisif de la même manière quatre jours plus tôt face au Genoa, le barbu s’est imposé depuis plus d’une décennie comme un maître en la matière. La preuve.
Voix d’adolescent, voix de cartoon, voix en totale inadéquation avec un physique et bien d’autres encore. En interview d’après-match, sur le terrain ou sur les plateaux télés, certains acteurs du monde du football régalent autant avec leurs cordes vocales qu’avec leurs pieds. De quoi avoir Mal au Mic comme Oxmo Puccino.
Raúl Gonzalez Blanco, c’est 363 buts en 839 rencontres sous les liquettes du Real Madrid et de Schalke 04. Inutile de parler d’Al Sadd, c’est comme dire qu’on a consulté ses mails durant ses congés payés : c’est pas du boulot. Retour en buts – pas forcément les plus beaux, mais sûrement les plus importants – sur la carrière d’un homme qui a passé sa vie à embrasser son alliance.
« Il serait temps de se remettre de mon transfert à Arsenal. » À l’aube du derby londonien, Sol Campbell revient comme chaque année au centre des débats. Avec cette phrase, le Judas des Spurs ne risque pas de calmer les esprits, au contraire. Entre grands ou petits clubs, qu’ils concernent des joueurs lambdas ou de classe mondiale, retour sur ces transferts qui ont enflammé la Premier League. Non à l’amour du maillot !
Sandro Rosell qui démissionne à cause du Neymargate, José María del Nido, président du FC Séville, derrière les barreaux, l’actualité du football espagnol n’est pas faite que de Clásicos endiablés et de football toque. Bienvenue dans le monde des parrains, de l’argent sale, des magouilles immobilières et des gros cigares avec ce top 7 (comme les péchés capitaux) des ripoux du football espagnol…
Vous êtes plus de 300 000 à faire vivre notre page Facebook, lancée en 2009. Pour vous remercier de votre soutien, voici les dix posts que vous avez le plus likés en 2014…
Il y a quelques jours, Marek Hamšík se risquait à se déguiser en femme. Une belle façon d’annoncer Mardi Gras, que l’on fête aujourd’hui en France. L’occasion, aussi, de revenir sur dix cas plus ou moins maîtrisés de costumes chez les footballeurs. Où il est souvent question de robe et de mauvais goût.