Idolâtrés par leur public, certain joueurs ont réussi au cours de leur carrière à se faire un nom hors de leur stade. Au point de se faire aimer de supporters dont ils n’ont jamais porté les couleurs.
Justifié ou non, le choix de Dayot Upamecano de rejoindre Salzbourg plutôt que Manchester United démontre une chose : que tout joueur a le libre arbitre de refuser un club qui paraît plus fort sur le papier. Ou presque.
Justifié ou non, le choix de Dayot Upamecano de rejoindre Salzbourg plutôt que Manchester United démontre une chose : que tout joueur a le libre arbitre de refuser un club qui paraît plus fort sur le papier. Ou presque.
Morris, l’illustre dessinateur et scénariste de Lucky Luke, mourait il y a 14 ans. Parce qu’on aime beaucoup les grandes chevauchées et les tirs à l’aveugle, compilation de ces trophées de la rapidité qui pourraient être décernés aux footballeurs.
C’est sans doute l’un des plus beaux coups de ce mercato estival, le retour à Saint-Étienne de son équipementier historique : Le Coq Sportif. Une marque qu’on a longtemps cru perdue pour la cause footballistique. L’occasion de revenir sur celles pour qui le destin n’a pas été aussi souriant…
Dans le passé, certains joueurs n’ont jamais pu porter le maillot du club dans lequel ils ont signé. Entre ceux qui ont ciré le banc jusqu’au bout et ceux qui n’y ont même pas posé une fesse, tour d’horizon.
La réussite ou non d’une saison tient souvent à la maîtrise de ses transferts. Et sur ce plan, il arrive régulièrement que des dirigeants de clubs donnent l’impression d’avoir tout fait au hasard. Pour des résultats parfois dramatiques.
Ce mardi soir, l’Argentine et le Paraguay vont s’affronter pour la seconde fois lors de cette Copa América chilienne. Une situation déjà vue lors d’autres compétitions internationales avec parfois, un trophée à la clé.
À l’image d’Edinson Cavani qui a littéralement pété les plombs après s’être pris une olive dans les fesses de la part de Jarra – assorti de quelques saletés orales -, les provocations obscènes sont monnaie courante dans le football. Florilège des pires attaques à caractère sexuel, entre fessée, chat-bite et insulte familiale.
À la surprise générale, André-Pierre Gignac s’est engagé avec Tigres, en Primera División de México. C’est le dernier en date, mais pas le premier à tenter l’aventure au Mexique. La preuve.