Du Burundi à l’équipe nationale anglaise, en passant par les divisions inférieures anglaises et couvé à West Brom, Saido Berahino n’avait pas choisi le chemin de la facilité. Il est aujourd’hui la révélation du premier quart de cette saison anglaise.
Ce samedi, Liverpool retrouve Chelsea, six mois après la défaite des Reds face aux Blues qui scella le rêve de sacre. Un échec qui porte un nom : Steven Gerrard.
Mercredi soir, lors de son remplacement, Karim Benzema était ovationné par le Santiago-Bernabéu. Une presque redondance depuis le début de saison qui illustre la forme mirifique du Français et sa nouvelle idylle avec l’antre merengue. Et encore, le meilleur est à venir…
Dans un pays qui n’a ni football ni ultras, ils ont choisi l’un et l’autre. Les Ultras Kaya tentent, dans l’indifférence, de vivre pour les potes et la liberté à Manille. Infiltré avec la bande pour le Clasico philippin, qui n’en est pas un. En noir et jaune.
Auteur de près de la moitié des buts de son équipe depuis le début de la saison, José Callejón marche sur l’eau et sur le classement des buteurs en Serie A. Pendant que son Napoli se démène pour accrocher le trio de tête, l’Espagnol surnage et n’a jamais paru aussi en forme. L’année référence ?
Eydelie : «J’espère que quelqu’un va me tendre la main»
Eydelie : «J’espère que quelqu’un va me tendre la main»
Personnage central de l’affaire VA-OM en mai 1993, l’ancien Marseillais Jean-Jacques Eydelie ne s’est jamais vraiment remis du scandale. Aujourd’hui entraîneur diplômé, il tente de vivre du football, mais concède qu’il s’agit « d’un combat quotidien ».
Rien ne prédestinait Jean-Christophe Bahebeck à intégrer la rotation du PSG de Laurent Blanc, et surtout pas ses prêts à Troyes et Valenciennes. Mais voilà, JCB est là, crédible en sortie de banc.
53 minutes. C’est tout ce que Marc Planus avait dans les chaussettes ce dimanche face à Toulouse. Suffisant pour participer grandement à la victoire de son Bordeaux de toujours (2-1).
Adam Maher au PSV, c’est l’histoire d’un joueur qui a eu du mal à grandir et qui est comme le Picon : jamais aussi bon que quand on lui met la pression.
De février 1995 à octobre 2013, Massimo Moratti aura dépensé plus d’un milliard pour son Inter. Une histoire d’amour. En renonçant à la fonction de président d’honneur, il laisse derrière lui une histoire de coups de génies, d’excès et d’échecs, mais surtout de frissons.