Dimanche soir, le spectacle était sur la pelouse et dans les coulisses au Parc. Sur la pelouse, le PSG en a passé cinq à Nantes. Dans les coulisses, Nicolas Sarkoy, Zlatan et Fabrice Pancrate ont animé la zone mixte à leur façon.
On était dans le Chaudron du Haut-Doubs pour Pontarlier-Caen
On était dans le Chaudron du Haut-Doubs pour Pontarlier-Caen
A la frontière suisse, dans le Haut-Doubs, Pontarlier, équipe de CFA2, recevait Caen dans son « Chaudron » pour les 32e de finale de la Coupe de France. L’occasion d’aller s’enliser dans la gadoue, de s’abreuver de vin chaud et de s’imprégner de l’accent local. Avec de la pluie, des cloches, beaucoup de buvettes et un poète suisse pour mettre l’ambiance.
Entre Noël et le 31, on était à la reprise des Girondins
Entre Noël et le 31, on était à la reprise des Girondins
Pendant les fêtes, certains footballeurs fourrent la dinde, tandis que d’autres l’emmènent en voyage. Ça, c’est parce que suivant les pays, la trêve hivernale est plus ou moins longue. À Bordeaux, où durant les premiers mois de championnat, les pigeons ont volé à l’envers pour ne pas voir la misère, à l’heure de reprendre le chemin des terrains, on a savouré et on détaille sans problème l’intermède festif…
«Pourquoi je suis venue ? Pour vivre le rêve américain»
«Pourquoi je suis venue ? Pour vivre le rêve américain»
Ce week-end se déroulait à Clairefontaine la première édition du Women Paris Soccer Show. Venues de tout le pays, 50 joueuses de niveau national ont tenté de séduire les coachs américains, dans le but d’obtenir un précieux sésame universitaire. L’occasion de s’intéresser un peu plus à la réalité du football féminin en France.
Tout était réuni pour que la fête soit totale : des concurrents qui se ratent, un stade plein à craquer composé uniquement de fans locaux, un adversaire qui ne joue rien. Ce dimanche, sous le soleil de Buenos Aires, San Lorenzo aurait dû être sacré champion d’Argentine et fêter toute la nuit avec ses supporters. Mais après 90 minutes de tensions et de frustrations, les supporters sont rentrés chez eux en silence, avec un triste 0-0 dans la besace.
On a maté Arsenal-Southampton avec les 2 Many Dj’s
On a maté Arsenal-Southampton avec les 2 Many Dj’s
Samedi soir, dans les couloirs de l’Emirates Stadium, Olivier Giroud a reçu le prix d’homme du match des mains du binôme électro belge des 2 Many Dj’s. So Foot était à leurs côtés et vous narre les coulisses d’une après-midi marquée par la bourde d’Artur Boruc et la présence de Thierry Henry. Mais pas que. La preuve.
On était à Nouvelle-Zélande – Mexique à Wellington
On était à Nouvelle-Zélande – Mexique à Wellington
Les Kiwis ne volent pas et ne participeront pas à la troisième Coupe du Monde de leur histoire. Aucun suspense après le 5-1 reçu au Mexique, mais les Néo-Zélandais saoulés à la Steinlager, et les Mexicains, chambreurs, ont foutu une grosse ambiance dans un pays où le foot n’est même pas pro.
«Il y a quelque chose qui se passe ce soir, je le sens»
«Ça m’a rappellé la finale de 1998 contre le Brésil»
Ils l’ont fait. Partis désavantagés, les Bleus ont finalement remonté leur handicap de deux buts pour largement s’imposer 3-0, dans une ambiance rarement vue au Stade de France. Entre coups de sang et rêve éveillé, retour en tribunes sur une soirée inoubliable et passionnée, au plus près des supporters des Bleus.
Un public habituellement triste qui se met à porter son équipe. Des joueurs qui ne donnent rien à picorer aux oiseaux de mauvais augure. Il y a des bonheurs, comme ce France-Ukraine synonyme de billet d’avion France-Brésil, qui valent quelques années de malheur.