
- Ligue des champions
- Groupe B
- J1
- Liverpool/Ludogorets (2-1)
On était à Anfield pour le retour de Liverpool en C1
Hier soir, Liverpool avait rendez-vous avec l’histoire pour son grand retour européen, après plusieurs saisons de disette. On y était.

Hier soir, Liverpool avait rendez-vous avec l’histoire pour son grand retour européen, après plusieurs saisons de disette. On y était.

Trêve internationale oblige, les championnats de Ligue 1 et de Ligue 2 ont fait relâche ce week-end. Nous en avons profité pour assister au derby francilien entre le Paris FC et le Red Star 93 au stade Charléty. The place to be, messieurs-dames, c’est Charléty !

Reportage au stade du Restelo, à Lisbonne, où le club d’Os Belenenses, pensionnaire de première division portugaise, évolue à l’ombre de ses encombrants voisins, Benfica et le Sporting.

Retransmise en direct, la première conférence de presse de Marcelo Bielsa à l’OM a donné lieu à un sacré décalage entre l’entraîneur et les journalistes venus à sa rencontre. Et ce n’est pas à cause de la traduction.

Hier après-midi, l’Argentine pouvait devenir championne du monde. Une troisième étoile attendue depuis 28 ans. Mais après une nuit de pleurs, de chants et d’incidents, la finale a laissé place aux regrets. Car si le parcours fut beau, ici on n’oublie pas Carlos Bilardo : « Le football est joué pour gagner… Les spectacles sont bons pour le cinéma, le théâtre… Le football, c’est autre chose. Certaines personnes confondent ! »

Le Costa Rica s’est fait sortir par les Pays-Bas, mais la défaite des Ticos réunit tous les ingrédients de leur folle épopée brésilienne : rigueur collective, solidarité, frissons et gardien héroïque. Récit de cette défaite vue du bled, à San José, la capitale, entre une sono de teknival et des litres de sueur.

Depuis 1978, les habitants d’un quartier de Tijuca, à moins d’un kilomètre du Maracanã, se réunissent par milliers dans la rue pour suivre sur écran géant tous les matchs de la Seleção en Coupe du monde. Entre souvenirs des victoires de 1994 et 2002, douche de bière et odeurs de saucisse, cette fête purement brésilienne fait de l’ombre à la Fan Fest officielle mise en place par la FIFA.

En s’inclinant d’un cheveu face aux grands favoris allemands, l’Algérie a enflammé ses supporters en même temps que les rues de Paris. Entre fierté et déception, de la place de l’Étoile à Barbès, retour sur une soirée historique, à jamais gravée pour les Fennecs.

Pour la première fois disposé à Paris, l’écran géant de la place de l’hôtel de ville a attiré une véritable marée humaine. Ils sont des milliers à être venus, à avoir stressé, prié, critiqué pour finalement s’embraser et fêter la victoire de l’équipe de France.

Les Américains sont un paradoxe dans le monde du football. Réputés pour n’en avoir strictement rien à foutre du soccer aux États-Unis, ils en deviennent fous au moment de se réunir derrière la bannière étoilée en Coupe du monde. Du coup, on a passé un match (stressant) avec eux.