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- Demi-finale
- Real Madrid/Borussia Dortmund
Balotelli offre sa copine au Real



Le dernier carré est sérieux. Il ne laisse pas de place aux figurants. Enfin si, mais de manière très spectaculaire. Que ce soit en Ligue des champions ou en Ligue Europa, il y a eu du level. Forcément, des mecs sont ressortis du lot.

C’est l’histoire d’un pays qui, dans les années 2000, chute de quelques étages dans la hiérarchie du football européen. Le pays, au fur et à mesure de sa chute, se répète sans cesse pour se rassurer : jusqu’ici tout va bien. Car au fond, il sait que ce qui est important, c’est pas la chute, c’est l’atterrissage.



Depuis hier soir, et la double victoire allemande face aux clubs espagnols, l’opinion publique s’extasie sur le football teuton et sur le « passage de pouvoir » entre Espagne et Allemagne. Oui, sauf que le foot allemand au haut niveau, c’est loin d’être une nouveauté. La preuve.


Hier soir encore, contre le Real, la Südtribüne du Westfalenstadion a régalé avant, pendant et surtout après. Et ce, même s’ils n’ont pas eu le temps – et sûrement l’argent – de rééditer leur exploit de Málaga : un énorme tifo. L’occasion de se (re)plonger dans leurs plus beaux travaux passés.

A lui tout seul, Robert Lewandowski vient probablement d’envoyer le Borussia Dortmund en finale de la Ligue des Champions. Comment ? En plantant un quadruplé contre le Real Madrid. Facile. Avant lui, ils sont huit à avoir réussi cette performance en C1. Et il n’y a pas que des détenteurs du Ballon d’Or.