Ce soir, le PSG retrouvera une vieille connaissance. Emir Spahić, ancien distributeur automatique de baffes et de coups de latte sous les couleurs montpelliéraines, s’avance avec Leverkusen pour tenter de contrecarrer les ambitions de Zlatan and co. Sans finesse ni état d’âme.
L’histoire avait tout pour être belle. Jean-Louis Garcia est laissé au chômage après la saison 93-94. Mais huit mois après, il est de retour, titulaire pour son premier match européen, en quart de finale de C3 à Leverkusen. À la fin du match, c’est une rouste : 5-1.
Avec un jeu de nouveau en conformité avec ses prétentions, le Barça se redécouvre des problèmes. De riches, cette fois. Messi, intouchable et de retour en forme, est le seul joueur offensif dont la titularisation est garantie. Reste à savoir qui de Pedro, Alexis, Neymar ou Iniesta l’accompagnera.
« Je ne savais pas qu’en France, j’étais l’emblématique Carsten Ramelow »
« Je ne savais pas qu’en France, j’étais l’emblématique Carsten Ramelow »
Comment parler du Bayer Leverkusen sans évoquer Carsten Ramelow ? « L’emblématique », comme l’appelait Jean-Charles Sabattier, est toujours aussi prolixe quand il s’agit de son club de cœur. Surtout concernant cette folle année 2002, où il a fini 2e de tout. Entretien avec un homme qui n’a pas tant de regrets que cela au final.
Avec huit buts en cinq matchs de Ligue des champions cette saison, le Suédois devrait faire peur à tout le monde. Sauf que le numéro 10 du PSG s’est forgé une sale réputation : quand les matchs comptent, le type ne marque plus. Une sale habitude à laquelle il doit tordre le cou.